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COVID19 : zone d'ombre

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A - Les pandémies dans l'histoire
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Epidémie ou Pandémie ?

Le terme de «pandémie» signifie que la propagation du virus est devenue mondiale. Le problème réside dans le fait que ce terme n’a pas de définition claire et scientifiquement consensuelle. Elle diffère par exemple entre l’OMS et d’autres organisations de santé. Et, au bout du compte, c’est toujours l’OMS qui a le dernier mot lorsqu’il faut la déclarer officiellement.

Selon l’organisation, une épidémie correspond à la propagation d’une nouvelle maladie chez un grand nombre d’individus non immunisés dans une région donnée, tandis qu’une pandémie est la propagation mondiale à grande échelle de cette même maladie dans plus de 2 continents. Jusqu'ici, le Dr Tedros Adhanom, directeur de l’OMS, avait jugé qu’il était encore trop tôt pour franchir ce cap.

Ce mercredi soir, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, s'est voulu rassurant sur la décision de l'OMS : «Le mot fait peur mais une pandémie n'est qu'une épidémie qui se diffuse sur tous les continents. Elle n'est pas plus virulente ou plus grave parce qu'on l'appelle “pandémie”».

Rappelons qu’en 2003, l’épidémie de SARS liée à l’apparition d’un autre coronavirus n’avait jamais été qualifiée de pandémie par l’OMS bien qu’elle ait touché 26 pays. Notamment parce que la propagation du virus avait été contenue rapidement et que la plupart des cas restaient concentrés dans une poignée de pays.

Qu'est-ce que cela change ?
Le passage d'une épidémie à une pandémie permet de franchir un cap au niveau stratégique. Lorsqu'il n'est plus possible d'endiguer la propagation du virus et que des cas se déclarent par centaines sur tous les continents, il convient de changer de braquet pour tenter d'atténuer au maximum l'impact du pathogène. «Décrire la situation comme une pandémie ne change pas l'évaluation de la menace posée par ce coronavirus. Cela ne change pas ce que fait l'OMS, et cela ne change pas ce que les pays devraient faire», a déclaré ce mercredi le directeur général de l'OMS.

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Les épidémies n'ont pas attendu la mondialisation ni la crise du coronavirus pour s'étendre à l'ensemble du globe.

Dès l'Antiquité, les maladies ont décimé des populations entières en l'espace de quelques mois voire quelques jours, déclenchant la terreur des habitants face à un mal inconnu.

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Version globalisée de l'épidémie, la pandémie se caractérise par une propagation rapide et un taux de mortalité élevé. Transmises par des virus ou bactéries inconnus à leur époque, ces pandémies ont tué des millions de personnes et marqué l'histoire de l'humanité.

La peste d’Athènes (-430 à -426 avant J.C)
Première pandémie documentée de l'histoire, la peste d'Athènes est en réalité probablement due à une fièvre thyphoïde. Décrite par l'historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, la maladie se manifeste par des fièvres intenses, des diarrhées, des rougeurs et des convulsions. Venue d'Éthiopie, elle frappe ensuite l'Égypte et la Libye, puis arrive à Athènes au moment de siège de ville de Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. On estime qu'un tiers de la ville, soit 200.000 habitants, vont périr lors de cette épidémie qui marquera le début du déclin d'Athènes.

Pericles donnant l’oraison funèbre / Philipp von Foltz © Wikipedia 

La peste Antonine (165-166)
Là encore, cette pandémie n'est pas due à la peste mais à la variole. Elle tient son nom de la dynastie des Antonins, dont est issu l'empereur Marc-Aurèle, qui régnait alors sur l'empire romain. La pandémie débute à la fin de l'année 165 en Mésopotamie, durant la guerre contre les Parthes et atteint Rome en moins d'un an. Selon les estimations, elle aurait causé 10 millions de morts entre 166 et 189, affaiblissant considérablement la population romaine. La variole, causée par un virus et caractérisée par des croûtes rougeâtres, des diarrhées et vomissements, a été déclarée éradiquée en 1980.

La peste noire (1347-1352)
Après avoir sévi en Chine, la pandémie de peste noire arrive en 1346 en Asie centrale, parmi les troupes mongoles assiégeant le port de Caffa, sur la mer Noire, tenu par des marchands génois. La maladie, se manifestant par d'horrible bubons, se propage ensuite à l'Afrique du Nord puis à l'Italie et à la France, où elle arrive par le port de Marseille via des navires génois. On estime que cette épidémie, aussi surnommée «la grande peste», a fait entre 25 et 40 millions de morts en Europe, soit entre un tiers et la moitié de sa population de l'époque.

L’expansion de la pandémie de peste noire en Europe au 14e siècle. © Wikipedia 

La grippe espagnole (1918-1919)
Causée par un virus de type A H1N1 particulièrement virulent, la grippe espagnole est en réalité d'origine asiatique. Elle arrive ensuite aux États-Unis, puis traverse l'Atlantique par les soldats venus aider la France. Si elle est qualifiée de grippe espagnole, c'est parce que le pays, non soumis à la censure et à la guerre, fait état des premières nouvelles alarmantes. Lorsqu'elle s'éteint, en avril 1919, le bilan est effroyable. La grippe espagnole a tué 20 à 30 millions de personnes en Europe et jusqu'à jusqu'à 50 millions à l'échelle mondiale, n'épargnant pratiquement aucune région du globe. On estime qu'un tiers de la pollution mondiale a été infecté.

VOIR AUSSIHuit maladies qu’on croyait disparues et qui reviennent

Le choléra (1926-1832)
Endémique depuis plusieurs siècles dans le delta du Gange en Inde, le choléra gagne la Russie en 1930, puis la Pologne et Berlin. Il débarque en France en mars 1832 via le port de Calais, puis arrive à Paris. Se manifestant par des diarrhées brutales et des vomissements, le choléra (dont on ne connait alors pas la cause, la bactérie Vibrio choleræ) entraîne une déshydratation rapide, aboutissant parfois à la mort en quelques heures. L'épidémie causera près de 100.000 morts en moins de six mois en France, dont 20.000 à Paris. Elle va ensuite gagner le Québec via les immigrants irlandais, où elle fera également des ravages.

Le duc d'Orléans visitant les malades de l'Hôtel-Dieu pendant l'épidémie de choléra en 1832/ Alfred Johannot © Musée Carnavalet, Histoire de Paris 

La grippe asiatique (1956-1957)
Liée au virus influenza H2N2, la grippe de 1956 est la deuxième pandémie grippale la plus mortelle après celle de 1918. Elle causera deux à trois millions de morts dans le monde, dont 100.000 dans l'Hexagone, soit 20 fois plus qu'une grippe saisonnière classique. Partie de Chine (d'où son nom), le virus gagne Hong Kong, Singapour et Bornéo, puis l'Australie et l'Amérique du Nord avant de frapper l'Europe et l'Afrique. Il va muter quelques années plus tard en H3N2 pour provoquer une nouvelle pandémie en 1968-1969, surnommée «grippe de Hong-Kong». Cette dernière marquera les débuts des premiers vaccins antigrippaux efficaces.

Le sida (1981-aujourd’hui)
Originaire de Kinshasa (République démocratique du Congo), le virus du sida apparaît au grand jour en 1981, lorsque l'agence épidémiologique d'Atlanta, aux États-Unis, alerte sur des cas inhabituels de pneumocystose (une pneumonie rare présente chez les patients immuno-déprimés). Le VIH n'est identifié que deux ans plus tard, en 1983, par une équipe de chercheurs de l'Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier. Au plus fort de l'épidémie, dans les années 2000, deux millions de personnes succombent chaque année du virus. 36,9 millions de patients vivent aujourd'hui avec le VIH , mais les traitements antirétroviraux ont permis de réduire considérablement la mortalité.

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https://www.france24.com/fr/20200506-pand%C3%A9mie-de-grippe-dans-les-ann%C3%A9es-50-et-60-en-france-autre-%C3%A9poque-autres-r%C3%A9ponses

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Pandémie de grippe dans les années 50 et 60 : Autre époque, autres réponses en France

Publié le : 06/05/2020 - 16:36

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Au cœur de l’actualité et des attentions depuis plusieurs mois, le Covid-19 n’est pourtant pas la première pandémie de l’ère moderne. Dans l’histoire des crises sanitaires depuis la deuxième moitié du XXe siècle, la France a déjà été frappée par deux pandémies de grippe, dans les années 1950 et dans les 1960. Retour sur ces épisodes peu connus avec Frédéric Vagneron, historien de la médecine et des maladies infectieuses.

Coronavirus, Covid-19 ... En raison de son lourd bilan humain et de ses conséquences socio-économiques, la pandémie actuelle, qui a fait plus de 258 000 morts dans le monde et obligé plus de la moitié de la planète à se confiner, est au centre de l'attention internationale et des préoccupations des scientifiques.

Face à l'ampleur de la crise sanitaire actuelle, il existe un parallèle avec l'histoire récente des pandémies qui ont atteint la France. Quelques décennies après la très meurtrière grippe espagnole de 1918-1919, deux pandémies ont sévi dans le monde dans la seconde moitié du XXe siècle : la grippe asiatique de 1957-1958, suivie de la grippe de Hong Kong, en 1968-1969. Chacune, de type A, a fait entre 1 et 4 millions de morts, selon l'OMS. En France, malgré quelques dizaines de milliers de morts (le bilan est toujours discuté par les historiens), ni les pouvoirs publics, ni les médias, n'en ont fait grand bruit à l'époque.

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N'ayant pas entraîné la paralysie de l'économie nationale, ni de mesures de confinement, elles restent aujourd'hui méconnues et oubliées. S'il est difficile de comparer deux périodes très différentes, pas seulement parce que la couverture médiatique et le rôle actuel joué par les réseaux sociaux était inexistant, on peut expliquer les différences de perception et le décalage entre les mesures prises à l'époque et celles d'aujourd'hui destinées à contrer le Covid-19.

France 24 a interrogé Frédéric Vagneron, historien de la médecine et des maladies infectieuses et chercheur rattaché au Centre Alexandre-Koyré (EHESS-CNRS).

France 24 : Comment expliquez-vous la différence de perception entre les pandémies de grippe asiatique et de Hong-Kong, et celle du Covid-19 ?

Frédéric Vagneron : Il faut se rappeler que la grippe, qu'elle soit saisonnière ou pandémique, est une maladie qui a été historiquement très étudiée, notamment ses manifestations épidémiologiques et cliniques. On dispose de récits de pandémies de grippe et des descriptions de la maladie à partir du XVIIIe siècle, et on connait extrêmement bien la description clinique de la grippe et ses différents effets au niveau respiratoire ou certains symptômes caractéristiques comme l'abattement en début d'infection.

Les deux pandémies de grippe qui surviennent dans un intervalle de 10 ans, entre 1957-1958, puis 1968-1970, ont marqué les esprits. L'épisode de la grippe espagnole de 1918-1919 était encore en mémoire dans la population et pour les médecins qui avaient été confrontés à cette catastrophe sanitaire majeure à la fin de la Première Guerre mondiale. En 1957, la grippe est perçue comme une "vieille" connaissance, avec des formes saisonnières souvent bénignes, mais c'est également une maladie que les scientifiques associent pour la première fois à la circulation de ses différents virus, un savoir encore incertain mais inconnu trois décennies plus tôt.

Avec le Covid-19, on est dans une situation radicalement différente : on fait face à une maladie dont aucun médecin n'avait connaissance il y a encore six mois. Il y a donc toutes les inconnues d'une maladie qui se propage rapidement. Il faudra du temps pour décrire et stabiliser ses caractéristiques propres, y compris dans le temps, dans les populations.

Comment percevez-vous le décalage entre les mesures prises à l'époque et celles qui ont été prises pour freiner la propagation du Covid-19 ?

Même si des problèmes d'absentéisme se sont posés au cours de ces pandémies, avec un ralentissement de la vie économique, ou un engorgement des services hospitaliers, il est vrai qu'à l'époque le pays n'était pas à l'arrêt comme aujourd'hui. D'un point de vue sanitaire, les mesures préconisées ne divergeaient pas fondamentalement de celles prononcées dès la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle, et ce, en dépit des nouveaux savoirs virologiques.

Avec l'apparition de la grippe, on savait à l'époque qu'il s'agissait d'une maladie très contagieuse, qu'il fallait éviter de sortir et faire attention à la convalescence. On craignait encore les complications bactériennes. Les recommandations de santé publique parues dans les comptes-rendus de débats de l'Académie de médecine, même si elles n'étaient pas mises en œuvre massivement, signalent par exemple l'intérêt du port du masque. Le décalage avec les mesures actuelles, dont le confinement de la population, est certes important, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y avait pas une conscience du risque à l'époque. D'ailleurs, la pandémie de grippe de 1968-1969 a donné lieu à une mobilisation internationale orchestrée par l'OMS, qui avait donné l'alerte face à un virus nouveau, comme en 1957, et comme aujourd'hui.

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Néanmoins, l'époque de ces pandémies et celle d'aujourd'hui sont bien distinctes. Dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale jusqu'aux années 1970 comprises, il y a, dans les pays occidentaux, une confiance généralisée dans les progrès techniques et scientifiques, malgré des voix plus prudentes. Une certaine confiance qui est justifiée par les avancées thérapeutiques avec la commercialisation de nouveaux médicaments, comme les antibiotiques contre les maladies infectieuses bactériennes, ou le développement des vaccinations grâce à de nouvelles techniques de biologie moléculaire et de génétique. Des maladies jusque­-là omniprésentes comme la tuberculose sont reléguées au passé. Jusqu'à l'apparition du VIH dans les années 1980, les sociétés occidentales pensent s'être débarrassées des grandes épidémies de maladies infectieuses ou qui sévissent encore dans les pays "en voie de développement".

L'étude de ces pandémies de grippe, dites oubliées, peuvent-elles contribuer à lutter contre le Covid-19 ?

D'un point de vue médical et scientifique, les pandémies grippales, dues à des virus en évolution constante, sont une sorte de modèle pour comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui. Le terme de "vague", chez les épidémiologistes, est ainsi intimement lié à un phénomène de réapparition successive de l'épidémie dans le temps lors des pandémies historiques, en particulier celle de 1918-1919. Mais, comme tout modèle, il a ses limites, et les médecins et chercheurs qui travaillent sur le Covid-19 savent pertinemment que le comportement de ce nouveau coronavirus est irréductible à ce que l'on connait sur les souches grippales.

Pour autant, à partir de la fin des années 1990, des politiques de préparation pandémiques se sont développées au niveau international, depuis les recommandations de l'OMS jusqu'aux politiques de préparation nationales, et le modèle de menace retenu a très majoritairement été celui de la grippe pandémique. La pertinence de ces plans de préparation pose question aujourd'hui : la focalisation sur le modèle grippal permettait-elle d'anticiper les défis imposés par le Covid-19 ? Dans ces plans, on a par exemple la quasi-certitude de disposer d'un vaccin assez efficace même si cela demande du temps et des moyens techniques, logistiques et financiers considérables.

Ce schéma est remis en cause aujourd'hui par l'incertitude qui entoure la pandémie de Covid-19. Malgré la rapidité de l'identification de ce virus et son séquençage, les chercheurs n'ont aucune expérience de traitement, alors qu'ils ont 70 années d'expérience de vaccination contre la grippe. Sans compter qu'à partir des années 1990, d'autres outils pharmaceutiques ont été utilisés contre la grippe, comme des antiviraux spécifiques. Dans le cas du Covid-19, il faut chercher et tester une nouvelle panoplie prophylactique et thérapeutique, y compris en testant l'efficacité de médicaments prescrits pour d'autres maladies.

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https://actu.fr/societe/coronavirus/covid-19-quelle-comparaison-possible-avec-les-autres-grandes-pandemies-de-l-histoire_36396201.html

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B - Les pandémies & Traitement médical

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Mon propos consiste à soulever le problème de la pertinence des traitements pendant la pandémie Covid. Pouvait-on éviter le pire, une mortalité aggravée, par une prévention efficace au niveau des médecins généralistes ? Ce minima at-il été mis en oeuvre ? Je ne le crois pas ! Les autorités sanitaires ont-elles influencé la médecine de ville ? Les médecins étaient-ils libres de leur prescriptions ? Je n'ai pas de réponses ni de certitude ... mais je veux que vous ressentiez en filigrane le fond du problème par l'intermédiaire d'articles tiers convergents traitant du sujet.

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https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/grippe

Cause
La grippe est une maladie infectieuse causée par un virus influenza, virus à ARN enveloppé de la famille des Orthomyxoviridae, qui touche essentiellement les voies respiratoires supérieures (nez, gorge, bronches), plus rarement les poumons. Il existe 3 types de virus influenza infectant l’homme : A, B et C. Les virus de type A infectent l’homme et de nombreuses espèces animales, les espèces aviaires (oiseaux aquatiques sauvages, volailles) constituant le réservoir, ainsi que différentes espèces de mammifères, notamment le porc. Sur la base de leurs protéines de surface, l’hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N), les virus de type A sont classés en sous-types notés HxNy. Les virus de type B infectent quasi-exclusivement l’homme. On distingue deux lignages de virus de type B, B-Yamagata et B-Victoria. Les virus de types A et B sont responsables des épidémies saisonnières, alors que les virus de type C provoquent une maladie généralement bénigne.

Seuls les virus de type A ont un potentiel pandémique.

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Symptômes et évolution de la maladie
Les symptômes apparaissent de 1 à 4 jours après la contamination. L’infection dure généralement une semaine et se caractérise par l’apparition brutale d’une fièvre, de douleurs musculaires, de maux de tête, d’une sensation de profond malaise, de signes respiratoires (toux sèche, gorge irritée, rhinite). 

La plupart des sujets atteints guérissent en une semaine avec un traitement symptomatique (antipyrétique, hydratation, antitussif et repos). Certaines personnes fragiles sont à risque de développer une grippe grave pouvant nécessiter une hospitalisation en réanimation, le recours à une assistance ventilatoire, voire même le décès : personnes âgées de plus de 65 ans, femmes enceintes, obèses morbides (indice de masse corporelle ou IMC>40 kg/m2), diabétiques, immunodéprimées, personnes atteintes de pathologies chroniques (maladies cardiovasculaires, maladies respiratoires), nourrissons.

Attention : il ne faut pas confondre grippe et syndrome grippal
La grippe est l’infection due à un virus influenza dont les symptômes sont les mêmes que ceux du syndrome grippal.

Un syndrome grippal est un ensemble de symptômes (fièvre, signes respiratoires, courbatures, céphalées …) dû à un virus respiratoire qui peut être également différent de la grippe : virus respiratoire syncytial (VRS), rhinovirus, virus parainfluenza, adenovirus.

Lors d’un syndrome grippal, si nécessaire, le médecin pourra réaliser un prélèvement respiratoire qui sera analysé au laboratoire, pour savoir s’il s’agit bien de la grippe.

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Transmission
Les virus grippaux pénètrent dans l’organisme par voie respiratoire, au niveau du rhino-pharynx. Ils se transmettent facilement par voie aérosol, au moyen de microgouttelettes et de particules excrétées par un patient infecté lorsqu’il tousse, éternue ou parle. Les virus peuvent également être transmis par l’intermédiaire des mains (type de transmission appelé "manuportage"), lorsqu’une personne touche une surface contaminée et porte sa main à proximité du nez, d’où l’importance des mesures barrière lors des épidémies (port de masque, lavage des mains). Les virus grippaux se multiplient dans l’épithélium respiratoire, où de nouvelles particules virales sont produites. La multiplication virale est localisée. La réplication virale provoque une nécrose de l’épithélium respiratoire cilié qui s’accompagne d’hypersécrétion de mucus bronchique.

Les températures froides favorisent la survie des virus grippaux ce qui explique, en partie, pourquoi les épidémies surviennent en hiver dans les climats tempérés.
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Réponse immunitaire
Lors de l’infection, la réponse immunitaire innée aboutit à la production de cytokines inflammatoires qui sont responsables de la plupart des symptômes de la grippe. La réponse immunitaire adaptative ou spécifique consiste notamment en une induction de lymphocytes T cytotoxiques qui éliminent les cellules infectées et de lymphocytes B qui produisent des anticorps parmi lesquels des anticorps qui vont neutraliser le virus.

Traitement
Le traitement de la grippe est symptomatique, avec application de mesures d’hygiène pour limiter la transmission et peut également faire appel à un traitement antiviral spécifique. Les antiviraux disponibles en France sont des inhibiteurs de la neuraminidase*, l’oseltamivir (Tamiflu®), actif sur les virus de types A et B, est disponible sous forme orale. Il réduit la durée de la maladie et la sévérité des symptômes s’il est pris précocement c’est-à-dire dans les 48 heures suivant le début des symptômes. Il permet également de réduire le risque de complications et la mortalité. Un autre inhibiteur de la neuraminidase, le zanamivir (Relenza®) peut-être prescrit à l’hôpital en cas de résistance à l’oseltamivir, sous forme intraveineuse.

Ces antiviraux sont prescrits à titre curatif et l’oseltamivir peut également être donné en prévention dans certaines situations, épidémie en EHPAD par exemple.

*Neuraminidase : glycoprotéine de surface du virus qui possède une activité enzymatique qui permet la libération des particules virales nouvellement formées et leur diffusion au sein du mucus

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Prévention et vaccination
La prévention
En cas d’épidémie déclarée, des mesures de protection individuelle s’imposent pour éviter d’être infecté, ou quand on est malade d’infecter soi-même les personnes de son entourage proche : port du masque, utilisation de mouchoirs jetables, tousser et éternuer dans son coude, se laver régulièrement les mains, aérer son logement régulièrement. Si vous êtes malades évitez le contact avec des personnes fragiles.

La vaccination
En dehors des mesures d’hygiène la vaccination annuelle contre la grippe reste le moyen le plus efficace de se protéger. Il permet de réduire les formes graves de grippe.

Elle est fortement recommandée pour les personnes les plus fragiles (cf ci-dessus), mais également pour le personnel soignant, pour les personnes résidant en établissement de soins de suite et pour toutes personnes en contact direct avec des personnes fragiles. La protection conférée par le vaccin est de 6 à 9 mois.

Les modifications génétiques constantes des virus grippaux imposent d’ajuster chaque année la composition du vaccin pour y introduire les souches les plus récentes en circulation. Si l’efficacité du vaccin dépend avant tout de l’âge et de l’état immunitaire du sujet vacciné, le degré de similitude entre les souches vaccinales et les virus en circulation entre également en ligne de compte.

La mise au point des vaccins

Le réseau mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la surveillance de la grippe rassemble les Centres collaborateurs et Centres de référence pour la grippe de l’OMS du monde entier. Il est chargé de suivre l’évolution des virus en circulation chez l’homme et d’identifier rapidement les nouvelles souches. Sur la base des informations recueillies par le réseau, l’OMS recommande la composition du vaccin pour qu’il soit efficace contre les souches les plus récentes en circulation. Deux réunions ont lieu chaque année, une en février pour la détermination du vaccin antigrippal pour l’hémisphère nord et une en septembre pour la détermination de la composition vaccinale du vaccin pour l’hémisphère sud. Les vaccins contre la grippe sont quadrivalents. Ils contiennent les souches représentatives des deux sous-types de virus A, A(H1N1)pdm09 et A(H3N2), et des deux lignages de virus B, B-Yamagata et B-Victoria, responsables des épidémies saisonnières.

Epidémiologie
Les virus grippaux de type A et B sont à l’origine des épidémies saisonnières chez l’homme. La grippe sévit généralement en hiver dans les pays tempérés mais les virus grippaux circulent toute l’année dans les pays tropicaux et sub-tropicaux. Seuls les virus de type A sont responsables des pandémies, dues à des nouveaux virus, inconnus de la population et vis-à-vis desquels la majorité de la population n’est pas protégée.

La grippe saisonnière
Les épidémies de grippe évoluent selon une saisonnalité, elles surviennent dans les régions tempérées entre novembre et avril dans l’hémisphère nord, entre avril et octobre dans l’hémisphère sud. Bien que les épidémies de grippe soient annuelles, elles restent imprévisibles, on ne sait pas quand elles vont démarrer, quels virus vont circuler, combien de temps elles vont durer. On ne peut pas non plus prédire l’intensité ou la sévérité d’une épidémie. En France, la grippe saisonnière touche 2 à 8 millions de personnes et est responsable de 10 000 à 15 000 décès chaque année.

Les pandémies
Une pandémie est une épidémie non limitée dans l’espace, qui se répand rapidement à toute la surface du globe. Elle est la conséquence de l’apparition d’un nouveau sous-type de virus grippal de type A (suite à une modification génétique majeure), pour lequel la majorité de la population est immunologiquement naïve. Une pandémie est particulièrement dévastatrice en termes de morbidité, de mortalité et d’impact socio-économique. Ces pandémies sont rares, le XXe siècle en a connu trois :

la pandémie de 1918 dite « grippe espagnole », la plus sévère, due au sous-type H1N1, a touché le monde entier et a été responsable de 20 à 50 millions de morts entre 1918 et 1919 ;

la « grippe asiatique » en 1957, due au sous-type H2N2 ;

et la « grippe de Hong Kong » en 1968 due au sous-type H3N2.

En 1977, lors de l’épidémie de « grippe Russe » les virus de sous-type H1N1 ont été réintroduits chez l’homme et ont circulé parallèlement avec les virus de sous-type H3N2.

En 2009, date de la dernière pandémie grippale, le virus responsable était un nouveau variant de sous-type H1N1, résultant d’échanges génétiques appelés réassortiments entre un virus humain, un virus aviaire et deux virus porcins. Depuis 2009 ce virus A(H1N1)pdm09 a remplacé les précédents virus A(H1N1) et est responsable, avec les virus A(H3N2) et les virus de type B, des épidémies saisonnières.

La grippe aviaire/zoonotique
On parle de grippe zoonotique quand il y a transmission d’un virus grippal entre l’animal et l’homme. Pour les virus influenza A, des infections par des virus issus du réservoir animal sont possibles exceptionnellement. Ces infections zoonotiques ont un niveau de gravité varié, infection généralement bénigne (ex. virus porcin H3N2v, virus aviaire H9N2), ou forme sévère avec létalité importante (ex. virus aviaires H5N1, H7N9). Ces infections ne donnent généralement pas lieu à une transmission interhumaine.  On parle de grippe aviaire pour les cas d’infection par des virus influenza aviaires qui se sont montrés capables de franchir la barrière d’espèces et d’infecter l’homme.

Chez les volailles le virus influenza se multiplie principalement au niveau du tractus digestif ainsi qu’au niveau du tractus respiratoire. Ainsi, de grandes quantités de virus sont excrétées dans les fientes et contaminent l’environnement. Les virus aviaires de sous-type H5 et H7 sont classés en faiblement pathogènes (FP) ou hautement pathogènes (HP) pour les volailles. La transmission à l’homme nécessite une exposition prolongée à des volailles infectées ou des environnements contaminés et la transmission d’homme à homme n’est pas efficace. Parmi ces virus aviaires, les virus A(H5N1) HP, A(H7N9) HP et FP sont à l’origine du plus grand nombre de cas.  D’autres virus aviaires comme les virus A(H5N6) sont responsables de cas humains sporadiques sévères alors que les virus A(H5N8) n’ont jamais été détectés chez l’homme.

Pour prendre en compte le risque de survenue de cas importés sur le territoire national, Santé publique France (SpF) met à jour la liste des pays avec une circulation endémique de virus influenza à potentiel zoonotique et les cas suspects d’infection font l’objet d’une évaluation selon les recommandations du Haut conseil de santé publique.

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Des traitements antiviraux
La grippe est due à un virus. Donc inutile de compter sur les antibiotiques pour soigner cette maladie. Le plus souvent, le médecin vous prescrit des antalgiques pour soigner les symptômes, notamment la fièvre et les maux de tête. Et la plupart des personnes en bonne santé guérissent de la grippe, sans prendre de traitement, en 1 à 2 semaines, laissant toutefois l’organisme très affaibli.

Il existe néanmoins des traitements antiviraux qui empêchent la réplication des virus dans l’organisme. S’ils sont pris suffisamment tôt, dès l’apparition des symptômes, ils peuvent limiter l’infection. En France, c’est le Tamiflu qui est prescrit. Cet antiviral, mis au point pour contourner les problèmes de résistance rencontré avec les premières molécules mises sur le marché, cible les protéines de surface des virus. Ces médicaments doivent être réservés aux formes graves ou aux patients présentant des risques de complications.

Pour protéger les personnes les plus vulnérables, une autre solution existe, une solution préventive. C’est la vaccination. « La vaccination, c’est très important, notamment chez la femme enceinte, poursuit Sylvie Behillil, responsable adjoint du Centre national de référence Virus des infections respiratoires (dont la grippe) à l’Institut Pasteur. Les femmes enceintes sont très peu vaccinées alors qu’elles font parties des personnes à risque depuis la pandémie de grippe H1N1 en 2009. Par ailleurs, quand une femme enceinte se vaccine, à n’importe quel moment de la grossesse, non seulement elle se protège mais elle protège aussi son bébé pour ses 2 ou 3 premiers mois de vie. »

Mais la vaccination ne doit pas concerner que les personnes sensibles. « Quand on se vaccine, on se protège soi mais on protège aussi les autres en évitant la transmission », rappelle Sylvie Behillil. « On casse la chaîne de diffusion, rajoute Vincent Enouf, responsable adjoint du Centre national de référence virus des infections respiratoires (dont la grippe) à l’Institut Pasteur (Paris). Et même si l’efficacité du vaccin est plus faible certaines années, suivant les virus qui circulent, il sauve des vies ».

Un vaccin à quatre souches
Si une personne a déjà attrapé la grippe, l’immunité qu’elle a acquise à cette occasion peut la protéger contre cette maladie. Mais encore faut-il qu’elle rencontre la même souche, du même type de virus de la grippe que la fois précédente. Et c’est bien là toute la difficulté avec la grippe : les virus évoluent tellement rapidement, et en permanence, que l’on n’est jamais complétement immunisé et que la composition du vaccin doit être revue chaque année.

Ainsi, le réseau mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la surveillance de la grippe établit chaque année la composition du vaccin, en essayant de déterminer, par avance, quelles souches vont circuler lors de la prochaine épidémie saisonnière. Le vaccin contre la grippe renferme ainsi les 4 souches de virus qui peuvent être responsables des épidémies saisonnières, à savoir A(H1N1)pdm09, A(H3N2), B Yamagata et B Victoria.

Ces vaccins « inactivés » contiennent des virus morts. Comme tous les vaccins, le fait d’exposer l’organisme à ces virus va activer le système immunitaire sans le rendre malade, ce qui permettra à ce dernier, lors d’une prochaine infection, d’être prêt à la riposte. Des évaluations de l’efficacité vaccinale sont réalisées chaque année en fonction des types et sous-types circulants, et selon les groupes à risque ou non.

Vers un « vaccin universel »
Si certaines équipes de recherche tentent aujourd’hui d’améliorer l’efficacité des vaccins contre la grippe, en étudiant par exemple un mode d’administration par le nez qui stimulerait les mêmes mécanismes de défense que le virus de la grippe, d’autres travaillent à l’élaboration d’un vaccin universel. Mais comment réaliser un vaccin qui serait efficace contre toutes les souches de virus ? Les chercheurs explorent plusieurs pistes, l’idée principale étant d’identifier une caractéristique commune à tous les virus de la grippe, qui ne soit pas ou peu soumise aux mutations.

Certaines équipes tentent par exemple de mettre au point des vaccins en utilisant non pas la tête des protéines de surface (celles qui servent à pénétrer dans les cellules), mais la tige de ces protéines qui mutent beaucoup moins (8). D’autres équipes, comme celles de l’unité Génomique virale et vaccination de l’institut Pasteur, se sont focalisées sur une petite protéine de surface qui émerge à peine de sa surface et ne varie pas d’une souche virale à l’autre (9). « L’objectif du vaccin universel est d’être vaccinée une fois, d’avoir un rappel et puis c’est tout. », conclut Sylvie Behillil.

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https://actu.fr/societe/coronavirus/on-me-traite-de-complotiste-un-generaliste-du-perche-temoigne_43475099.html

https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-traitement-et-medicaments-les-medecins-ne-peuvent-ils-prescrire-que-du-doliprane-aux-malades-comme-le-suggere-marine-le-pen-2206297.html

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/05/14/on-s-etait-bien-trompe-sur-le-traitement-du-covid-19-itineraire-d-un-post-facebook-qui-seme-la-confusion_6039690_4355770.html

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Scandale lorsque la politique s'immisce dans la santé !

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On voudrait doper la mortalité par des traitements inadaptés que l'on n'aurait pas fait autrement !

En effet, cette surmortalité peut et permet de justifier un panel politique ( ... qui est lui même en réalité le seul vrai but de la manoeuvre ). Bilan du traitement standard conseillé aux "généralistes" ? Le voici : Des vitamines, du doliprane et un antibiotique ! .... contre une infection virale .... on croit rêver !

Les médecins ont été incités, "conseillés" de prescrire des traitements inefficaces ( paracétamol / vitamines / antibiotique ) à défaut de premièrement laisser les praticiens déterminer librement le contenu de leur ordonnance ! Bizarre. Mon médecin m'a même dit que selon les experts parisiens << les anti-inflammatoires sont néfastes ... alors qu'à l'hôpital ... le traitement de base est à base d'anti inlfammatoires et anti coagulant ( je l'ai vécu ! J'ai personnellement reçu dans un premier temps ce type de prescription inefficace à base de vitamines et "antibio", ... idem pour des parents et amis proches ) ! Pourquoi ne pas prescrire précocément à domicile les anti inflammatoires et anti coagulants avec de l'oxygène pour éviter d'en arriver à des cas plus graves ?

Bizarre. Les services de secours ( standard tél URGENCE ) qui filtrent les entrées en hôspitalisation retardent les admisssions en donnant priorité aux personnes dèjà en diffculté respiratoire : Bizarre ! Finalement n'entrent que ceux qui sont déjà très malades au lieu de sauver avant le point de non retour de l'infection ... Parce que nous manquons de lit d'hôpitaux !! Alors finalement ... que reste-t-il ? Pas de traitement ... Pas de lit en raison de mauvais choix politiques qui n'ont jamais été remis en cause et qui se prolongent encore dans le temps.

C'est Le vaccin ( dont on soupçonne des conflits d'intérêts ) ou la mort !? Bizarre tout cela.

Le pire ? Des hôpitaux et un service public vidé littéralement de se substance ! Un scandale historique même pendant la pandémie !!

https://www.liberation.fr/checknews/emmanuel-macron-a-t-il-ferme-17-600-lits-dhopital-en-quatre-ans-comme-laffirme-francois-ruffin-20211224_ZDEGBEMS4BHW3CGKLAOKL275ME/

https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/pourquoi-5-700-lits-d-hopitaux-ont-ils-ete-supprimes-en-france-malgre-le-covid-19-8d958f3a-2104-11ec-9353-4fbb3f56eba7

A-t-on cherché à orienter dans un mauvais sens la pratique des médecins pour gonfler une mortalité ? ? Hypothèse qui mérite réflexion.

On sait depuis longtemps qu'il y a mieux mais cela est interdit ! Résultat :

Le vaccin  ... ou mourez !

https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Comment-generalistes-soignent-ils-Covid-2021-05-16-1201155952

Par exemple : On sait que cette infection entraine des micros caillots de sang et qu'il inflamme les tissus, parfois dans tout le corps !!

Aucun anti-coagulant ni anti-inflammatoire prescrit précocément ni de consignes en ce sens données aux médecins. Scandale !. En 2022, des médecins les refusent encore expréssement ces traitements sous des pretextes ou croyances débiles datant du début de l'épidémie. Médecine moyen-âgeuse scandaleusement orientée par le pouvoir politique.

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Seine-et-Marne. Une médecin suspendu
pour avoir prescrit des antihistaminiques à des malades du Covid
Une médecin de Dordives subit une procédure disciplinaire pour administration de traitements non validés contre le Covid. Un collectif de patients s’est formé pour la soutenir.

La médecin proche de la retraite attend le verdict et espère pouvoir continuer à exercer (©Pixabay)

Par Yoann VallierPublié le 10 Mai 22 à 20:32 

La République de Seine et Marne

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À Dordives (Seine-et-Marne), la colère gronde chez les patients d’Hélène Rezeau-Frantz. Car la seule médecin de cette ville de 3 300 habitants a été sanctionnée, le 6 octobre 2021, à trois mois de suspension dont deux avec sursis par la Chambre disciplinaire régionale du Conseil de l’Ordre des médecins du Centre-Val de Loire. La raison invoquée ? Le non-respect de nombreux articles du code de santé publique à travers « la mise en place d’un protocole de traitement systématique, de recherche et d’essais cliniques hors de la réglementation en vigueur… »

Quelques jours plus tard, le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) a fait appel, précisant que « la sanction prononcée par la Chambre Disciplinaire semble inadaptée au regard de la gravité des fautes commises par le Dr Rezeau-Frantz ».

En mars 2020, alors que les spécialistes s’affrontent sur les traitements à administrer face à la première vague de Covid, le médecin de Dordives, prescrit à 18 patients symptomatiques de la Cetirizine, un antihistaminique antiallergique, généralement administré pour des rhinites allergiques et de l’urticaire.

« L’histamine étant un des maillons de la chaîne inflammatoire, on s’est dit qu’en arrêtant ça au départ ou au moins en limitant les effets, on avait des chances de ne pas passer à des formes graves », se justifie alors le docteur dans un reportage diffusé le 6 mai 2020 sur France 3.

La médiatisation d’un traitement non-agréé par les autorités de santé et apparenté à un essai clinique non validé déclenche la réaction de l’Ordre des médecins.

L’appel du Conseil national de l’ordre des médecins, suspendant provisoirement la décision de fermeture de son cabinet qui était prévue le 10 février, le Docteur Hélène Rezeau-Frantz a été en mesure de retrouver son droit d’exercer. Mais les patients qui appelaient pour prendre rendez-vous sont tombés sur ce message téléphonique : « Le cabinet médical est fermé pour dépression suite au harcèlement du Conseil de l’Ordre pour avoir donné un traitement dans le Covid ». Elle a, depuis, repris ses activités en attendant la décision du CNOM, et refuse de parler à la presse.

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« C’est totalement injuste »
« C’est totalement injuste. Notre médecin de famille est formidable. Elle m’a traitée avec cet antihistaminique et, après 48 heures, j’avais connu une nette amélioration », soutient Geneviève, une patiente de Ferrières-en-Gâtinais.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Même louage chez Xavier et Colette, habitants de Château-Landon : « Nous sommes ses patients depuis 30 ans. Et nous en sommes plus que satisfaits. » Face à ce qu’elle considère comme une injustice, la patientèle s’est constituée en collectif informel appelé « Liberté, Santé, Vérité ».

Ce collectif a organisé une réunion publique à l’église de Dordives qui a réuni 176 personnes dont le Dr Rezeau-Frantz qui a pris la parole devant un parterre tout acquis à sa cause. Aujourd’hui, Dordives retient son souffle. En raison des déserts médicaux dans le Loiret et le sud Seine-et-Marne, ses patients se demandent bien où, en cas de sanction lourde du CNOM, ils pourront désormais se faire soigner. « On doit donc résister de toutes nos forces », conclut avec ferveur, Geneviève, du collectif qui compte bien se faire encore entendre.

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L’ATTEINTE À LA LIBERTÉ DE PRESCRIPTION DES MÉDECINS PAR L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE LIÉ AU COVID-19 :

LE CAS DE L’HYDROXYCHLOROQUINE
https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

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https://www.monde-diplomatique.fr/2020/11/DESCAMPS/62393

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https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/etude-lappui-un-collectif-de-medecins-plaide-pour-la-liberte-de-prescrire-en-ville

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https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-traitement-et-medicaments-les-medecins-ne-peuvent-ils-prescrire-que-du-doliprane-aux-malades-comme-le-suggere-marine-le-pen-2206297.html

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https://www.notre-planete.info/actualites/4866-declaration-medecins-vaccins-COVID

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COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des attaques sans précédent

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Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.

Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...

Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.

Pour le Docteur canadien Hodkinson, membre du Collège Américain des Pathologistes et du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada, il s'agit "d'une pandémie de peur. Peur qui a été délibérément provoquée par deux facteurs majeurs : le test PCR et la censure de tout ce qui va à l'encontre du narratif officiel."

Extrait de l'interview du Pr Raoult par France soir publiée le 21 novembre 2021.

▴ Publi-reportage ▴

Presque tous les virologues, médecins et scientifiques qui mettent en doute la stratégie de "vaccination" de masse et/ou émettent des réserves sont systématiquement rabaissés, ignorés ou rejetés dans des articles à charge de soit disant "fact-checking" (qui sont souvent très discutables et faux) à la solde des médias mainstream. De plus, certains journalistes usent de tous les moyens pour entacher la réputation des médecins réfractaires en fouillant leur vie privée, leurs amitiés pour les faire passer pour des "complotistes" qui auraient basculé dans la démence.
"J'ai rencontré de nombreux chercheurs, médecins et scientifiques « de haut niveau » animés par la volonté farouche de connaître et de dire la vérité. Or, très curieusement, ils sont passés, en quelque mois, du statut de « scientifiques brillants » à celui de « sombres complotistes » (...) Jamais je n’ai connu de « purge (médiatique) » d’une telle ampleur dans le monde scientifique (...) La stratégie de tous les systèmes totalitaires : mensonges, calomnies, décrédibilisation de toute pensée non « orthodoxe » et surtout, détournement de l’attention du public de la recherche de certaines vérités." (Jean Stevens, médecin retraité après 45 ans d'expérience en médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France)).

Interview du Dr Michel de Lorgeril, médecin, expert international en épidémiologie et physiologie, chercheur au CNRS. Il s'exprimait déjà en janvier 2020, au sujet de l'omerta et l'innocuité des vaccins. Interview complète ici.

En France, comme aux USA, les malheureux médecins qui administrent des traitements pourtant très efficaces ou qui expriment publiquement leurs doutes sur les vaccins sont menacés de radiation et/ou radiés (ex : Dr. Thierry Lagrange, Dr. Raoult, Dr. Benoit Ochs, Dr Nicolas Zeller, Dr Hélène Rezeau-Frantz, Dr Théron, Dr Agret, Dr Le Grall...).
"Quand on dit aux gens 'Il ne faut plus vous soigner, restez à la maison !', on revient sur 2 500 ans de pratique médicale. Et ça se termine par une mortalité effroyable." déclarait le Pr Raoult à l'antenne de Sud Radio le 9 novembre 2021.

A lire sur ce sujet :

Vaccination contre la COVID-19 : un remède pire que le mal ?

Coronavirus COVID-19 : la course folle aux traitements est lancée

COVID-19 : le documentaire HOLD ON alerte sur les dessous masqués et inavouables de la "vaccination"

L'aluminium, les vaccins et les 2 lapins ... Le film choc de l'Association E3M

"En 2 ans la France est devenue une dictature comme en Chine ou Ex-Union Soviétique !
Je suis encore interdit de TweeT pour avoir osé donner mon avis médical en tant que médecin !
A quand les perquisitions et les camps de rééducation ?
Je n'aurais jamais cru voir ça en France un jour dans ma vie !
C'est très grave ce qui se passe en France !
Mais le pire de tout c’est de voir la passivité, la soumission et le conditionnement mentale de 95% de la population !", s'insurgeait le Dr. Peter El Baze suite aux restrictions appliquées sur son compte Twitter le 11 décembre 2021.

Au final, "ceux qui savent sont pénalisés (...) On ne peut pas dire qu'on nous traite bien quand on sait. On déteste plutôt ceux qui savent." s'indignait le Pr. Raoult dans sa vidéo du 11 janvier 2022.

Les médecins du monde entier s'allient pour défendre leurs patients et le serment d'Hippocrate
Face aux décisions politiques, insensées et dangereuses des gouvernements principalement occidentaux, plusieurs milliers de médecins et scientifiques médicaux dans le monde entier ont fondé une alliance internationale de médecins et scientifiques "déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de Covid".

1ère déclaration de l'alliance de médecins
A l'occasion du Global Covid Summit qui s'est tenu du 12 au 14 septembre 2021 à Rome, ils ont signé une première déclaration qui est "un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements - sans crainte d'ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies. Nous exigeons que ces groupes se retirent et honorent le caractère sacré et l'intégrité de la relation patient-médecin, la maxime fondamentale « D'abord ne pas nuire » et la liberté des patients et des médecins de prendre des décisions médicales éclairées. Des vies en dépendent."

Début décembre 2021, ils étaient déjà plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux à avoir signé cette déclaration dont le Dr. Robert Malone, l'un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough, célèbre cardiologue américain, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins et bien d'autres docteurs.

DÉCLARATION DES MÉDECINS SOMMET MONDIAL DU COVID –

ROME, ITALIE Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux Septembre 2021 Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d'Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ; VU QU'il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l'intégrité, l'art et la science de la médecine ; VU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l'objet d'une attaque sans précédent ; VU QUE les décideurs publics ont choisi d'imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l'approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s'est avérée sûre et plus efficace ; VU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ; CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s'engager dans un discours professionnel ouvert et d'échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l'essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ; CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s'aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l'absence de traitement ; CONSIDÉRANT que ceci n'est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l'humanité. PAR CONSÉQUENT, IL EST RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins. RÉSOLU, que l'intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l'art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l'autorisation d'exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d'assurance et l'ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d'échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés. IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D'ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements. IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l'intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine. RÉSOLU, nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance. RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l'importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l'accès à des soins médicaux fondés sur la science. EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Le serment d'Hippocrate (revu par l'Ordre des médecins français en 2012)
"Au moment d'être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité.
J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.
Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j'y manque."

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2e déclaration de l'alliance de médecins pour protéger les enfants
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Le 29 octobre 2021, les milliers de médecins et scientifiques réunis dans le cadre de cette alliance ont signé une deuxième déclaration visant à protéger la santé des enfants face à la pression vaccinale.

"Le consensus est clair parmi les médecins et les docteurs en médecine : après 20 mois de recherches exhaustives, des millions de patients traités, des centaines d'essais cliniques réalisés et des données scientifiques partagées dans le monde, ils concluent que les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID devraient être exclus des obligations vaccinales et des restrictions sociales.
Les médecins recommandent également des mesures législatives et administratives, pour éviter d'interrompre les traitements des médecins, ou de mettre davantage en danger les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID." explique l'alliance.

Cette nouvelle déclaration intervient alors que des décisions arbitraires et infondées sont prises pour forcer les enfants en bonne santé à se faire vacciner, sans qu'il n'y ait aucun avantage dans la balance bénéfice / risque, tout en imposant des mesures de plus en plus draconiennes contre des citoyens déjà immunisés.

Les mesures insensées et autoritaires prises principalement dans les pays occidentaux face à cette pandémie - extrêmement peu létale chez les personnes non âgées et en bonne santé - soulèvent de plus en plus de questions sur sa véritable origine et sa finalité alors que des vaccins délétères et invalidants sont imposés de manière autoritaire, aveugle et sans garde-fou.
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B  - Scandale médical
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1 - La médecine à t-elle été corrompue d'une manière ou d'une autre ?

* Corruption du circuit décisionnaire
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* Le service public de la santé aux abois :
Une faute politique grave prévisible et annoncée.
Ce n'est plus aujourd'hui un secret : D'une manière générale, notre système de santé est en pleine déliquescence depuis des décennies. C'est une catastrophe sanitaire sur le long terme qui est annoncée. Des malades meurent dans les couloirs des hopitaux faute de soins dans les temps ... faute de lits ou de médecins disponibles. Les médecins opérent une sélection mobide scandaleuse faute de moyen ... et des personnes sont délibérement abandonnés à une mort certaine !! En France !!!.

C'est un scandale parce que cet état de fait a été voulu, organisé et planifié depuis longue date par "nos" représentants.
https://www.lejsl.com/faits-divers/2018/03/14/urgences-saturees-elle-meurt-sur-son-brancard
https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Lattente-urgences-augmente-risque-deces-2019-05-27-1201024720
https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Finir-vie-brancard-salle-dattente-urgences-2018-05-18-1200940148
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https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-comment-la-france-a-perdu-pres-de-80-000-lits-d-hospitalisation-publics-en-vingt-ans_4833931.html
https://www.syndicalismehebdo.fr/article/faute-de-lits-des-patients-restaient-des-jours-dans-les-couloirs-avec-des-conditions-de-prise-en-charge-indignes
https://www.whatsupdoc-lemag.fr/article/lhopital-delbeuf-en-pleine-crise-20-patients-qui-dorment-dans-les-couloirs-et-des-medecins
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/classement-mondial-de-la-sante-quels-pays-arrivent-en-tete_105114
https://www.contrepoints.org/2014/01/03/152082-crise-de-lhopital-et-du-systeme-de-soins-un-etat-des-lieux
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a - Médecine sous tutelle / Service hôspitlier à la dérive
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https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/dgs-spf-has-on-vous-dit-tout-ou-presque-sur-ces-organismes-dont-vous-entendez-parler-depuis-le-debut-de-la-crise-du-covid-19_4115449.html
https://www.monde-diplomatique.fr/2020/11/DESCAMPS/62393
https://www.contrepoints.org/2020/07/02/374977-les-traitements-interdits-pour-le-covid-marchent-ils
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_____Episode Covid : Service public laissé à la dérive malgré des périls annoncés ...

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... avec la complicité et suite à un programme de réduction de l'offre de service de l'état____
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Aprés deux années de pandémie et en connaissance des problèmes du service hôspitalier, nos dirigeants ont choisi de vider le service public et de continuer la même politique de réduction de l'offre médicale : 450 lits réanimation en région PACA pour 5 millions d'habitants. : Ces décisions sont coupables ... Criminelles ! Les médecins ont dû faire une sélection des malades et laisser mourir des personnes malades, subjectivement jugées trop atteintes, en raison de la pénurie de lits en réanimation et de traitements précoces pertinents : Un crime prémédité et organisé.  Des milliers de nos anciens ont attendu la mort parce que, pour des raisons d'économie et de basse politique, la nation n'a pas voulu se préparer au drâme ni prévoir les structures d'urgence capable de répondre aux besoins minima face à une pandémie grippale. Prioriser et sélectionner entre des malades pour évaluerle potentiel de guérison est normal ... mais disposer de moyens insuffisants par rapport à des besoins minima demeure coupable et condamnable !
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https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/article/nombre-de-lits-de-reanimation-de-soins-intensifs-et-de-soins-continus-en-france-fin-2013-et
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-comment-la-france-a-perdu-pres-de-80-000-lits-d-hospitalisation-publics-en-vingt-ans_4833931.html
https://www.cgt.fr/actualites/france/sante/legislation/plfss-2021-4-milliards-deuros-deconomie-imposes-lhopital-public
https://www.liberation.fr/checknews/emmanuel-macron-a-t-il-ferme-17-600-lits-dhopital-en-quatre-ans-comme-laffirme-francois-ruffin-20211224_ZDEGBEMS4BHW3CGKLAOKL275ME/
https://www.liberation.fr/checknews/debat-presidentiel-15-000-soignants-ont-ils-ete-licencies-en-raison-de-la-crise-sanitaire-comme-laffirme-le-pen-20220420_3GZ436HVGFDGHF4W2CP2BJBBCU/
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-tri-des-patients-en-temps-un-dilemme-moral-en-temps-de-crise-sanitaire_fr_5e86f56bc5b6a94918346bd5

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Un décret «passé en catimini» permet-il vraiment au gouvernement

de contrôler et sanctionner les médecins ?
La pandémie de Covid-19 en Francedossier
 
Un article viral accuse un texte de loi, adopté cet été, d’être un moyen déguisé de punir les soignants en désaccord avec le Président et ses ministres. Les ordres médicaux dénoncent une fake news.
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Demandé par les ordres représentant les professionnels du secteur de la santé, un «conseil national de la certification périodique» est en cours de création pour «garantir la qualité des soins et actualiser le niveau de connaissances des soignants», affirme le président du Conseil national de l’Ordre des pédicures-podologues, Eric Prou. (Eugenio Marongiu/Getty Images)
par Elsa de La Roche Saint-André
publié le 17 août 2021 à 11h01
Des dizaines et des dizaines de tweets. Certains s’accompagnent du hashtag #manif21aout. Et tous commencent de la même manière : «Par décret passé en catimini, Macron et Véran créent le “Conseil national de certification”, soumis au gouvernement, pour reconduire ou retirer le droit d’exercer des médecins qui n’obéissent pas…» En clair, en période de pandémie (et de polémiques récurrentes sur la validité de tel ou tel traitement), le gouvernement chercherait à se donner les moyens de faire le tri entre les bons et les mauvais médecins.
La phrase citée dans les tweets est extraite d’un billet publié sur europe-israel.org, un site hostile au gouvernement français et déjà épinglé par CheckNews pour avoir relayé une fausse information. Cette fois-ci, en plus d’avoir circulé sur les réseaux sociaux, l’article a été diffusé sur la plateforme de blogging de Mediapart (qui n’a rien à voir avec la rédaction de Mediapart, mais est parfois l’objet de confusion sur ce point). Il fourmille de tournures aux accents complotistes. «Pas un mot dans les médias», «reste à savoir si les médecins sont au courant (à quoi servent syndicats et ordre des médecins ?) et s’ils vont se laisser faire…» ou encore «il est clair que cela a largement à voir avec le Covid, la prescription de médicaments interdits et la vaccination… Les médecins dissidents courent objectivement le risque de se voir ni plus ni moins chassés de leurs postes, de leurs cabinets», peut-on lire.
Un «conseil national de la certification périodique» est effectivement en cours de création. Mais dire qu’il s’agit d’un organe politique permettant de «contrôler la médecine» est une «fake news», dénonce Eric Prou, président du Conseil national de l’Ordre des pédicures-podologues, interrogé par CheckNews. «Des personnes malintentionnées font de la récupération à partir d’une vraie actualité», déplore-t-il.
Actualiser les connaissances des soignants
Pour commencer, la règle dont s’inspire le texte du site Europe-Israel.org n’est pas un décret mais une ordonnance, c’est-à-dire un texte législatif adopté par le gouvernement après que le Parlement lui a donné son accord pour légiférer par cette voie. Prise en Conseil des ministres le 19 juillet dernier, puis publiée au Journal officiel deux jours après, l’ordonnance «relative à la certification périodique de certains professionnels de santé» complète le Code de la santé publique.
L’obligation de certification périodique ainsi instituée concerne sept professions, dont quatre médicales (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens) et trois paramédicales (infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues). Elle avait été «demandée» par les ordres représentant les professionnels du secteur de la santé, pointe Eric Prou. «Le but de la certification n’est pas de sanctionner les professionnels, mais d’améliorer leurs qualifications, de garantir la qualité des soins qu’ils prodiguent, et d’actualiser leur niveau de connaissances.» Elle «constitue une garantie supplémentaire de sécurité et de qualité des soins dispensés. Il s’agit donc d’un outil au service des patients», renchérit le Conseil national de l’Ordre des infirmiers.
A lire aussi
Les soignants non-vaccinés doivent-ils présenter un test négatif pour pouvoir exercer ?
CheckNews
16 août 2021
L’Ordre national des pédicures-podologues parle de cette obligation comme d’un «serpent de mer» : «Elle existe depuis très longtemps en Angleterre et au Canada. En France, elle était aussi dans les tuyaux.» D’ailleurs, «le projet de texte est antérieur à la crise», ajoute l’Ordre des pharmaciens, «puisqu’il est une traduction de la loi de santé de 2019 [relative à l’organisation et à la transformation du système de santé], dans le cadre de Ma Santé 2022». La certification périodique des médecins avait été préconisée par le professeur Serge Uzan dans son rapport de 2018, qui faisait lui-même suite à la grande Conférence nationale de santé s’étant tenue en 2016.
D’une seule voix, les six autres ordres avaient alors demandé à ce que le projet de certification périodique s’applique également à leurs professionnels respectifs. Un second rapport, celui de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sorti en 2020, a servi de base au gouvernement pour la rédaction de l’ordonnance. Après une concertation avec les acteurs du secteur, elle a finalement été adoptée en juillet. Soit dans le timing imposé par la loi de 2019, qui prévoyait qu’une ordonnance paraisse au cours des deux années suivantes.
L’«insuffisance professionnelle», sanction ultime
L’ordonnance prévoit que tous les six ans, les professionnels de santé devront rendre compte d’un «programme minimal d’actions» par lequel ils auront pu mettre à jour leurs compétences, mais aussi «améliorer la relation avec leurs patients» et «mieux prendre en compte leur santé personnelle». Ces actions seront librement choisies par les soignants – en concertation avec leurs employeurs s’ils en ont – au sein d’une liste figurant dans un référentiel national, et seront répertoriées dans leurs comptes individuels.
Différents organismes sont impliqués dans le processus de certification périodique. Les conseils nationaux professionnels – sortes de «conseils scientifiques» pour chacune des spécialités médicales, comme par exemple le collège de médecine générale – élaboreront les référentiels de certification. Chaque profession disposera de son propre référentiel ; ainsi, «la démarche qualité [programme lancé en 2014] sera l’une des briques de la certification chez les podologues», cite Eric Prou.
De leur côté, les ordres professionnels seront chargés de contrôler le respect par les soignants de leur obligation de certification périodique. Ils disposeront à ce titre d’un pouvoir de sanction, «si un professionnel ne répond pas du tout à son obligation», précise le président de l’Ordre des pédicures-podologues. Ce qui leur permet de lancer une procédure disciplinaire en cas de manquement, ainsi que de placer un soignant en «insuffisance professionnelle», l’obligeant à s’arrêter d’exercer et à suivre une formation pour reprendre son activité. A noter que cette faculté des ordres existe déjà aujourd’hui dans le cadre du «développement professionnel continu».
Enfin, le dispositif est chapeauté par une instance nouvellement créée, le fameux «conseil national de la certification périodique», chargé, d’après le site Vie publique, «de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique». Comme l’indique Eric Prou, «ce n’est pas, ou plutôt ne sera pas, une instance politique. Il intégrera forcément des professionnels de santé, mais sa composition n’est même pas encore fixée».
Délai de 9 ans pour la première certification
La composition du conseil, comme de multiples autres points, doivent en effet être réglés par de nouveaux textes à venir. L’ordonnance ne définit que les grands principes de la certification, dont les modalités d’application seront définies dans «une multitude de décrets», note Eric Prou. Et ce après concertation avec les parties prenantes. «Les représentants des professionnels ont leur mot à dire», confirme le podologue.
Certains aspects de l’obligation seront déterminés par le Conseil d’Etat, qui, selon Eric Prou, se penchera prochainement sur «le type d’actions qui seront à effectuer au titre de l’obligation de certification périodique». La prochaine échéance pour les représentants des professionnels de santé, c’est une «concertation sur la composition du conseil et sur le rôle précis des ordres et des conseils nationaux scientifiques», annoncée par le ministère de la Santé pour la rentrée.
Il faut souligner pour finir que le processus de certification n’entrera en vigueur qu’au 1er janvier 2023. De plus, les professionnels de santé en exercice à cette date disposeront d’un délai de neuf ans pour réaliser leur première période de certification. Ce qui laisse donc largement le temps aux soignants de s’y conformer, et prouve encore une fois que la règle n’est aucunement corrélée à la pandémie de Covid-19.
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B - Propagande et traitement politique des protocoles médicaux : 
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J'ai remarqué une chose dans le traitement d'attaque proposé par les médecins de ville aux patients atteint du Covid : Le protocole est orienté par des directives venus de l'administration. On prescrit aux malades un antibiotique, du paracétamol et du zinc .... alors que on sait que tout se joue dans les premiers jours par un traitement préventif et un suivi permettant d'éviter l'hospitalisation qui intervient toujours trop tard ! Bref : Le traitement de contact semble un peu léger alors que l'on sait que les virus ne sont pas impactés par les antibiotiques.
https://blogs.letemps.ch/suzette-sandoz/2021/05/09/cette-fois-cest-trop/
https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-traitement-et-medicaments-les-medecins-ne-peuvent-ils-prescrire-que-du-doliprane-aux-malades-comme-le-suggere-marine-le-pen-2206297.html
https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/15/l-antibiotique-azithromycine-est-il-vraiment-efficace-contre-le-covid-comme-l-affirme-cette-publicat_1785212/
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Chantage adressé aux populations : Le Vaccin ou la mort ? 
Les alternatives mises sous le tapis pour favoriser le business de big pharma ? 
Scandale historique
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https://www.notre-planete.info/actualites/4849-vaccins-COVID-19-risques-morts-USA
https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Il-existe-traitements-efficaces-contre-Covid-vrai-faux-2021-07-23-1201167573
https://www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2484525-medicaments-contre-le-covid-tocilizumab-xav-19-ces-traitements-qui-pourraient-changer-la-donne/
https://facestressburnout.wordpress.com/2020/05/07/existe-t-il-un-traitement-contre-le-covid-19-polemique-ou-realite-lavis-dun-microbiologiste-dans-lequotidiendumedecin/
https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-3-medicaments-efficaces-sur-le-virus-et-ses-variants.5620816.806703.html
https://sciencepost.fr/covid-19-cecite/

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Des conflits d'intérêts entre big pharma et les services spécialisés de l'état ?
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Cabinet conseil ... ou les conseils de bons copains ?


https://lecourrier-du-soir.com/scandale-france-en-3-ans-macron-a-passe-500-commandes-aux-cabinets-prives-43-milliards-deuros-depenses/
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-france-letat-aurait-verse-246-millions-deuros-aux-cabinets-prives-en-18-mois-de-crise-sanitaire/
https://blogs.mediapart.fr/la-france-liberee/blog/290620/big-pharma-au-sein-de-graves-derives-et-de-conflits-dinterets
https://blogs.mediapart.fr/la-france-liberee/blog/270620/les-revenus-verses-par-big-pharma-derives-et-conflits-d-interets
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/big-pharma-et-conflits-d-interets-130116
https://www.legrandsoir.info/conflits-d-interet-le-classement-des-professionnels-de-sante-les-plus-remuneres-par-l-industrie-pharmaceutique.html
https://blogs.letemps.ch/suzette-sandoz/2020/09/15/quels-rapports-entre-big-pharma-et-la-pandemie/
https://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/le-capitalisme-et-big-pharma-tuent-88662
https://www.liberation.fr/checknews/le-groupe-pfizer-a-t-il-ete-condamne-par-le-passe-a-des-milliards-de-dollars-damendes-20220106_RP6Q4O5BKBFUBAGN2DI3SCYN3I/
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2  - Scandale du service hôspitalier
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La stratégie employée par les gouvernements Européens était-elle la meilleure ?  Pas sûr ! Il suffit de comparer le coût entre la remise à flot de l'hôpital public et le coût engendré par l'aide massive substitutive et intéressée des entreprises .... 
* Coût de la remise en état du service hôspitalier // Quelques milliards suffisaient !
https://www.sudouest.fr/economie/emploi/segur-de-la-sante-la-cgt-va-proposer-un-plan-global-de-57-milliards-d-euros-1912200.php
* Coût de la politique économique substitutive // Des centaines de milliards placés sur un plan hypothétique et artificiel !
https://www.nouvelobs.com/economie/20220421.OBS57437/600-milliards-de-dettes-supplementaires-faut-il-vraiment-s-en-inquieter.html
https://www.vie-publique.fr/en-bref/279641-covid-19-206-milliards-deuros-pour-aider-les-entreprises
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/le-covid-a-coute-entre-170-et-200-milliards-d-euros-a-l-etat-selon-olivier-dussopt-20210927
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3 - Politique d'endettement ; Innocence ou politique intérêt ?
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* L'ambition Européenne justifiée et dissimulée derrière un virus dont la mortalité n'a pas été endiguée avec efficacité, volontairement ou pas, consiste à aggraver un endettement massif de la nation comme des agents économiques : Création d'un “Moment hamiltonien” de manière à justifier, imposer la marche vers une Europe fédérale tenue par les banques : 
On comprend mieux le rôle d'un banquier à la tête de l'état pour mener ces réformes. Ce quinquennat 2022/27 marquera alors la continuité de cette marche forcée ... par l’endettement.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Moment_hamiltonien


https://leseurolucides.fr/2020/06/25/fonds-de-relance-le-moment-hamiltonien-des-etats-unis-deurope/

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C - SCANDALE POLITIQUE
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1 - Le pouvoir absolu
( en écriture )
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2 - Classement de la période sous le "secret d'état" : Scandale //

Impunité pour les traitres à la nation.
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https://www.finalscape.com/politique-les-crimes-de-haute-trahison-et-de-complot-contre-la-surete-de-letat-retires-de-la-constitution-francaise-en-catimini/
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/covid-19-les-decisions-prises-en-conseil-de-defense-rendent-elles-le-gouvernement-inattaquable-20210910
https://www.dna.fr/sante/2021/07/03/covid-19-ces-scandales-qui-ont-emaille-la-crise-dans-le-monde
https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/21/dans-la-crise-du-covid-19-tous-les-elements-d-un-scandale-judiciaire-de-sante-publique-sont-reunis_6037264_3232.html

3 - Conflit d'intérêt & lien avec les élus / Business pharma
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Scandale : 2,4 milliards de doses covid achetées pour 445 millions d'Européens : 
Corruption  détournement de fonds publics
https://www.youtube.com/watch?v=B8VFHiTd1QI&ab_channel=LeCourrierdesStrat%C3%A8ges
https://www.youtube.com/watch?v=T7Yu-zP85Vg&ab_channel=VirginieJoron
https://www.youtube.com/watch?v=6oV787de3RI&ab_channel=VirginieJoron
https://www.mediapart.fr/journal/economie/020222/le-vaccin-de-pfizer-une-machine-profits-demesures?M_BT=113359173463
https://www.humanite.fr/monde/covid-19/big-pharma-le-scandale-des-70-milliards-deuros-dedies-aux-actionnaires-plutot-qua
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/covid-19-chaque-jour-pfizer-le-leader-des-vaccins-a-engrange-60-millions-de-dollars-de-benefices-en-2021-903656.html
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B - SCANDALE RELATIF AUX LIBERTES PUBLIQUES
1 - Les citoyens privés de liberté de circulation

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Matt Hancock
Officiellement il démissionne  en raison d'une liaison extra-conjuguale : Faut le mettre en retrait le bougre !

Mais pourquoi ?
https://www.lindependant.fr/2023/03/06/covid-quand-deployons-nous-le-nouveau-variant-le-plan-du-ministre-de-la-sante-britannique-pour-effrayer-la-population-et-annoncer-le-confinement-11041727.php
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Covid : "Quand déployons-nous le nouveau variant ?", le plan du ministre de la Santé britannique pour "effrayer" la population et annoncer le confinement

Au mois de novembre dernier, Matt Hancock était suspendu de ses fonctions de député pour avoir participé à une émission de télé-réalité. MAXPPP - Justin Ng / Avalon

Des centaines de milliers de messages échangés par les membres du gouvernement de Boris Johnson en pleine crise du Covid ont été dévoilés dans la presse. Des révélations explosives !
Et encore un scandale. Depuis quelques jours, les "lockdown files" mettent la Grande-Bretagne en ébullition. En effet, le Telegraph a publié des centaines de milliers de messages récupérés sur Whatsapp, envoyés par des membres du gouvernement de Boris Johnson pendant de la crise du Covid. 
Dans le viseur des médias anglais : Matt Hancock. L'ancien ministre de la Santé aurait envoyé des messages plutôt compromettants alors qu'il était encore en fonction. Jugez plutôt. 
Nous sommes le 13 décembre 2020, soit "cinq jours avant que le gouvernement ne renonce à son intention d'assouplir les règles à Noël", détaille la BBC. 
Stratégie
Dans une conversation avec un conseiller, Matt Hancock discute du meilleur moment pour dévoiler l'existence d'un nouveau variant et faire ainsi accepter aux Britanniques l'idée de la prolongation des mesures de restriction. Alors que l'équipe de Boris Johnson ne fait pas l'unanimité, que ses décisions sont contestées par une partie de la population et que le Brexit occupe le haut de l'affiche. Matt Hancock et son conseiller parlent stratégie. "Nous effrayons tout le monde avec la nouvelle souche", lâche ainsi le secrétaire à la Santé. "Ouais, c'est ce qui entraînera un changement de comportement approprié", répond son conseiller. "Quand déployons-nous la nouvelle variante ?", demande alors le ministre.
Hancock dévoilait l'existence du variant anglais (Alpha) le lendemain. 
Depuis, Hancock a bien tenté de se défendre en dénonçant un "récit partiel et biaisé adapté à un programme anti-confinement".
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https://www.france24.com/fr/europe/20210627-scandales-du-covid-19-ces-politiques-pouss%C3%A9s-%C3%A0-la-d%C3%A9mission
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2 - Une société à l'arrêt,

.... des médecins privés de liberté de prescription pour des raisons politiques.
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Que s'est-il passé en réalité ? Pour avoir les mains libres et justifier une situation d'exception, le contrat exceptionnel dont a bénéficié big-pharma, la loi exigeait une menace exceptionnelle et un problème sans réponse médicinale classique ... chose que le gouvernement à créé de toute pièce. On a exagéré la menace ( bourrage de crâne médiatique & chiffre corrompu ) ... et interdit les recherches ou solutions médicales alternatives au vaccin ( médecin encadré & Pr Raoult muselé ). Il fallait qu'il n'existe aucun traitement et aucune alternative à la proposition des firmes pharmaceutiques ... Qu'à cela ne tienne ! Ils ont interdit, bridé, obligé ou muselé tout ceux qui avaient des solutions alternatives.
Scandale d'état ! Soulevez-vous contre cette manipulation historique ! ...
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COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des "attaques sans précédent"

© Pixabay - Licence : Pixabay
Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.
Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...
▴ Publi-reportage ▴
Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.
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Ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine… : que risque un médecin en prescrivant ces traitements dans le Covid ?


Crédit photo : Phanie
« Médecins, soignez : c’est autorisé. » C’est le message rassurant que tentent de faire passer les partisans des traitements précoces contre le Covid-19. À l’instar du collectif « Laissons les médecins prescrire », ils encouragent leurs confrères à administrer des médicaments qui n’ont pas fait la preuve de leur efficacité dans le Covid selon les autorités sanitaires.
Hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine en font partie. Lancé il y a quelques mois, un protocole empirique de traitement du Covid continue d’ailleurs à circuler sur Internet. Il associe ces médicaments à des produits homéopathiques, à de la phytothérapie et à de l’acupuncture… Dangereux, estimait l’Ordre des médecins au mois de février dernier. Et pourtant, rien n’empêche les médecins de le prescrire. Mais en cas de pépin, ils devront en assumer toute la responsabilité devant la justice ordinale et les tribunaux.
Liberté de prescription… encadrée
Dans une fiche pratique publiée sur son site Web, le Conseil national de l'Ordre des médecins rappelle que les praticiens bénéficient d’une liberté de prescription (article 8 et 40du code de déontologie et article L.162-2 du code de lasécurité sociale), y compris pour des médicaments qui n’ont pas reçu d’AMM (autorisation de mise sur le marché) ni même d’ATU (autorisation temporaire d’utilisation) pour certaines indications thérapeutiques. C'est par exemple le cas de l’ivermectine, un traitement antiparasitaire. « La prescription hors AMM est possible », elle est même prévue par la loi, indique l’Ordre.
Cette liberté est cependant encadrée. Le prescripteur doit en premier lieu s’assurer qu’aucune alternative thérapeutique médicamenteuse n’est disponible. À ce jour, c’est bien le cas du Covid-19 pour lequel aucun traitement n'a été reconnu efficace par la communauté scientifique.
Le médecin qui prescrirait hors AMM n'est pas pour autant à l'abri des poursuites. Deux cas de figure peuvent se présenter.
Premièrement, s’il ne remplit pas son obligation d’information renforcée envers son patient, définie par l’article L.1111-2 du code de la santé publique (CSP). Il a le devoir de lui rappeler la non-conformité de la prescription par rapport à son AMM, l’absence d’alternative thérapeutique à bénéfice équivalent, les risques encourus et les bénéfices potentiels et enfin l’absence de prise en charge du traitement par l’Assurance-maladie. Le médecin doit en outre motiver sa décision dans le dossier médical (article L.5121-12-1 du CSP). Une entorse à cette obligation d’information ouvrirait droit à réparation.
Risque injustifié
Le médecin peut également être attaqué s’il fait courir un risque injustifié à ses patients (article R.4127-40 du CSP). Il « ne peut proposer aux patients des thérapeutiques insuffisamment éprouvées (article R.4127-39 CSP) », rappelle le CNOM. C’est précisément le cas de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine dans des indications contre le Covid, pour lesquels il n'y a pas consensus de la communauté scientifique sur l'efficacité de ces médicaments dans le Covid.
Pour le premier de ces traitements, la question ne se pose plus vraiment depuis que le gouvernement a interdit sa délivrance hors AMM dans le Covid, en ville comme à l'hôpital. Dans le cas de l’ivermectine, la responsabilité du prescripteur pourrait être engagée.
Dans une décision rendue au début du mois d’avril, l’ANSM a refusé une demande de RTU (recommandation d’utilisation temporaire) en faveur de l'ivermectine, estimant que le manque de données disponibles « ne permet pas de présumer d’un rapport bénéfice/risque favorable, en traitement curatif ou en prévention ». L’Agence soulignait également que le Haut Conseil de la santé publique avait conclu à l’absence de recommandation de l’utilisation de cette molécule contre le Covid-19, en dehors d’un essai clinique.
Au mois de mars, c’est l’Agence européenne du médicament qui s’était prononcée. « Les preuves actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine dans le Covid-19 en dehors des essais cliniques », avait-elle indiqué dans un communiqué. Elle estimait que le risque de toxicité des doses plus élevées « nécessaires pour obtenir des concentrations d’ivermectine dans les poumons efficaces contre le virus » ne pouvait être exclu.
En cas de plainte, le médecin mis en cause devra démontrer que sa prescription n’est pas en contradiction avec ces données établies par les scientifiques.
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3 - Le soutien du Conseil  constitutionnel
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https://www.liberation.fr/checknews/conseil-constitutionnel-et-pass-sanitaire-laurent-fabius-est-il-en-situation-de-conflit-dinterets-a-cause-de-son-fils-chez-mckinsey-20210808_ORZB5IZ3CNBNVPICGOXSHDIA4A/

Conseil constitutionnel et pass sanitaire : Laurent Fabius est-il en situation de conflit d’intérêts à cause de son fils chez McKinsey ?

Si le sujet agite les réseaux sociaux, les spécialistes interrogés par CheckNews évoquent une «interférence faible».

Le fils du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius travaille pour le cabinet McKinsey que le gouvernement a missionné dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19. (Gonzalo Fuentez/REUTERS)
par Vincent Coquaz et Danae Corte
publié le 8 août 2021 à 13h33
Bonjour,
Votre question porte sur la décision du Conseil constitutionnel qui a validé jeudi 5 août l’extension du pass sanitaire. Vous êtes ainsi plusieurs à nous interroger sur un potentiel conflit d’intérêts de Laurent Fabius, président de cette institution qui se prononce sur la conformité des lois à la Constitution, avec le poste qu’occupe son fils Victor Fabius, au sein du cabinet McKinsey dont il est directeur associé.
Le gouvernement a en effet fait appel à ce cabinet de conseil en stratégie pour une mission dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19 (ce qui posait déjà en soi des questions de conflit d’intérêts, comme l’expliquait CheckNews).
Pour plusieurs internautes, notamment certains opposants au pass sanitaire, les places respectives du père et du fils constitueraient un conflit d’intérêts, comme le sous-entend par exemple cette image particulièrement partagée sur Twitter.
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D  // SCANDALE MEDIATIQUE
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Unanimité ou placement sous contrôle des médias ?
Un matraquage médiatique sans précédent et digne d’une dictature.
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VIDEOS INSTRUCTIVES
COVID : Des résultats d'étude cachés sur les effets secondaires / voir vidéo :


https://vm.tiktok.com/ZGJmxcKmf/


Pfizer : Un saut vers l'inconnu. Pacte intéressé avec le diable


https://vm.tiktok.com/ZGJuySvwT/
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2 //  EXCROQUERIE INTELLECTUELLE
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Arnaque du covide / Arme de destruction massive d'origine humaine ?
https://vm.tiktok.com/ZGJH2ubCn/


https://vm.tiktok.com/ZGJHS9j8p/
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DES CHIFFRES TRUQUES OU MANIPULES ??


Le Live avec Pascal Praud
https://www.agoravox.tv/actualites/sante/article/pierre-chaillot-decoder-l-eco-96464
Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels
Pierre Chaillot est statisticien.Depuis le début de la crise du Covid, il a collecté scrupuleusement toutes les semaines l’intégralité des données officielles disponibles sur les sites d’EUROSTAT, de l’INSEE, de la DREES et des différents ministères. Mortalité, occupation des lits, positivité des tests, âges, etc…Deux ans d’un travail méticuleux, qu’il a rendu public régulièrement sur sa chaîne Youtube «  Décoder l’éco  ».Qu’a-t-il constaté ? De gigantesques anomalies.
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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1697967/sante-canada-contamination-covid-19-rappel-esbe-scientific
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Santé Canada confirme la contamination de 380 000 tests de dépistage
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Les écouvillons sont de petites tiges munies de brosses à l'extrémité permettant d'aller chercher des sécrétions et des cellules dans le nez.
PHOTO : RADIO-CANADA / MONTAGE

Publié le 28 avril 2020
Prenez note que cet article publié en 2020 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Santé Canada a confirmé à Radio-Canada que 380 000 trousses de dépistage de la COVID-19, appelées écouvillons, ont fait l’objet d’un rappel urgent du 28 mars au 3 avril en raison d’un problème de contamination.
Radio-Canada révélait le 15 avril, que le Nouveau-Brunswick avait reçu 6400 trousses de dépistage inutilisables.
Le 11 avril 2020, l’entreprise responsable de l’importation de ces écouvillons au Canada, ESBE Scientific, a diffusé un rappel en raison d’un problème de stérilisation des tests de dépistage.
Santé Canada affirme que ESBE Scientific s’est engagée à prendre des mesures correctives et à remplacer le produit.
ESBE fait affaire avec le fabricant chinois Yancheng Rongtai Labware Co. Ltd. peut-on lire dans le rappel publié par Santé Canada.
Le Dr Richard Garceau, microbiologiste-infectiologue au Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont à Moncton, à la tête du laboratoire pour tester la COVID-19 au Nouveau-Brunswick, est l’un de ceux qui ont sonné l'alarme sur la qualité des tests de dépistage.
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https://www.liberation.fr/checknews/conseil-constitutionnel-et-pass-sanitaire-laurent-fabius-est-il-en-situation-de-conflit-dinterets-a-cause-de-son-fils-chez-mckinsey-20210808_ORZB5IZ3CNBNVPICGOXSHDIA4A/
Conseil constitutionnel et pass sanitaire : Laurent Fabius est-il en situation de conflit d’intérêts à cause de son fils chez McKinsey ?
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Si le sujet agite les réseaux sociaux, les spécialistes interrogés par CheckNews évoquent une «interférence faible».

Le fils du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius travaille pour le cabinet McKinsey que le gouvernement a missionné dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19. (Gonzalo Fuentez/REUTERS)
par Vincent Coquaz et Danae Corte
publié le 8 août 2021 à 13h33
Bonjour,
Votre question porte sur la décision du Conseil constitutionnel qui a validé jeudi 5 août l’extension du pass sanitaire. Vous êtes ainsi plusieurs à nous interroger sur un potentiel conflit d’intérêts de Laurent Fabius, président de cette institution qui se prononce sur la conformité des lois à la Constitution, avec le poste qu’occupe son fils Victor Fabius, au sein du cabinet McKinsey dont il est directeur associé.
Le gouvernement a en effet fait appel à ce cabinet de conseil en stratégie pour une mission dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19 (ce qui posait déjà en soi des questions de conflit d’intérêts, comme l’expliquait CheckNews).
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LES DANGERS D4UNE TECHNO NON MAITRISEE
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https://www.tribunejuive.info/2023/03/08/yves-lusson-les-apprentis-sorciers-stoppes-dans-leur-folie-le-livre-dalexandra-henrion-caude/
Yves Lusson. Les “apprentis sorciers” stoppés dans leur folie. Le Livre d’Alexandra Henrion-Caude
8 mars 2023 Tribune Juive livres 21

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Attention les secousses ! Les apprentis sorciers, de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, sort en librairie ce jeudi 9 mars. Cet ouvrage rare édité chez Albin Michel nous livre un point de vue scientifique dissident sur le vaccin à ARN messager de façon extrêmement pédagogique et bien documentée. Il s’attaque ainsi au cœur de la propagande des gouvernements covidistes (le vaccin miracle), et nous aide grandement à réaliser le pouvoir de maltraitance de nos soit-disant « élites ». 
Âmes sensibles, surtout ne pas s’abstenir : nous aurons besoin de tous, à commencer par tous ceux qui ne supportent plus de devoir se soumettre à une société atteinte de démence (1). 
Ecrit pour donner à la population toutes les clés d’une catastrophe planétaire – le scandale sanitaire du « vaccin » à ARNm contre le Covid, « jusqu’à 98 fois plus dangereux que le Covid lui-même » (page 21) –, ce livre m’a plongé dans un abîme de sentiments vertigineux, allant de la profonde tristesse à l’éblouissement, en passant par la colère, voire même la rage.
Les apprentis sorciers est d’abord le fruit d’un travail colossal, méthodique, scrupuleux et génial, produit par une scientifique de très haut niveau, courageuse et rigoureuse, qui n’a pas lésiné sur ses efforts, aussi bien pour mettre l’ARNm à la portée du quidam – le peuple, concerné jusque dans sa chair par cette « vaccination » très spéciale à tous points de vue – que pour renvoyer l’ensemble de ses affirmations à une multitude d’études toutes plus sérieuses les unes que les autres réalisées par des scientifiques parmi les plus reconnus et fiables au monde. 
Ce livre de la lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux Etats-Unis en 2013, grande spécialiste française de l’ARN en tant que directrice de recherche à l’Inserm – on y apprend qu’elle avait elle-même découvert une famille d’ARN, les MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule – est surtout l’oeuvre d’un être profondément humain et digne, qui a su rester debout face à un ouragan mondial inédit de non-sens et d’abus, ébranlant tant de nos institutions qui semblaient à beaucoup d’entre nous inébranlables : l’OMS, les gouvernements, les autorités médicales, la recherche scientifique, les médias, etc.
Extrêmement solide dans la lucidité de son récit, dans la clarté de ses explications, dans le sérieux de ses références, ce livre nous pose plus de questions qu’il n’y répond sur comment nous en sommes arrivés là. Quelle démence collective nous a plongé dans autant de mensonges, d’imprudences, d’inconsciences, d’irrationalités, d’irresponsabilités, politiques, médicales, médiatiques, mais aussi de tout un chacun ? 
De nombreux spécialistes en sciences humaines auront à cœur se pencher sur cette « perte de raison » planétaire, et sur les phénomènes individuels et collectifs qui y auront conduits. En attendant, des centaines de millions de personnes auront été trompées, manipulées, forcées, maltraitées, par des élites défaillantes dont forcément de nombreux procès détermineront les degrés de responsabilité, voire de culpabilité. 
Mais c’est aussi la défaillance d’une société tout entière qu’il faudra voir, entendre, reconnaître, examiner, comprendre, analyser. Et nécessairement pardonner un jour, à condition que nous puissions oeuvrer à reconstruire tous ensemble une société qui protège mieux la raison, l’intelligence et l’humain. 
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VIDEOS INSTRUCTIVES
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Qui a créé le COVID ??  

Un crime planifié et breveté / SRAS ?? Des experts parlent devant les assemblées
https://vm.tiktok.com/ZGJxRcBNk/
 Covid :  arme biologique humaine de guerre crée par USA
https://vm.tiktok.com/ZGJx2e5L6/
 COVID - Mafia des laboratoires / Guerre contre le Pr Raoult
A  -  https://vm.tiktok.com/ZGJxqM9eq/
B -  https://vm.tiktok.com/ZGJxqetq1/
C - Pression pour taire les dissidences
https://vm.tiktok.com/ZGJQFt7TU/
D - Briser le trvail et recherche concurrente au vaccin
https://vm.tiktok.com/ZGJQygg7T/
E - scandale sur le vaccin : indemnisation des effets secondaire / surmortalité !
https://vm.tiktok.com/ZGJQBXSKg/
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3 - Exiger une comission d'enquête internationale et la comparution des oligarques crapuleux à  l'origine du scandale

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Il est un fait qu'il existe des faits, et phénomènes troublants suite à cette pseudo pandémie. Les services médicaux volontairement fermés depuis logue date, empéché d'agir. Les traitements valides non testés et interdits. Les médias mis sous tutelle. L'opposition muselée. Il y a eu des enrichissement indû avec la complicité des plus hautes autorités des nations et des organismes de santé internationaux.
Les asosciations de défense des citoyens doivent exiger la mise en place d'une enquête parlementaire, la constitution d'association de victimes et la comparution des coupables devant les institutions judiciaires compétentes;
A vous de jouer !!

 

Date de dernière mise à jour : 08/07/2024

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