ICH BEEN - texte sur Marseille
...... 2- Qui suis-je ?…
........................................... Un individu assez ordinaire ! … né à Marseille en l’an de grâce 1972, ainsi qu' il se disait autrefois. Me voici sur cette photo sur un banc du parc "PASTRE" situé au pied des collines vers la pointe rouge, à Marseille avec ma pitchounette âgée de trois ans, à l'heure du goûter. La photo date un peu . Phocée : Ma tendre et bien chère ville natale - J’y demeure depuis toujours, aussi attaché à sa terre que peut l'être un provençal digne de ce nom. Mes parents sont des gens très simples, tous les deux issus du peuple. Mon père, rapatrié de Tunisie, meurtri à jamais par cet exil, après s’être essayé dans la police puis dans la reprographie, demeura pendant plus de vingt ans au service de la régie des transports Marseillais ( RTM) . Ma mère, installée sur ce sol avec sa famille depuis la nuit des temps, œuvra principalement comme ouvrière dans le domaine de la confection… . Il y a aussi Patrick, mon unique frère aîné qui se passionne depuis sa plus tendre enfance pour le jeu « d’échec »; engouement pour lequel il voue d’ailleurs le plus clair de son temps libre à côté de ses occupations professionnelles dans le domaine de la vente. Je vous fais grâce du reste de la famille, d’une part pour ne pas faire de jaloux, car il faudrait remonter aux quatre coins de France et de Navarre, d’autre part afin de ne pas encombrer un article que je sais déjà trop conséquent.
......... Mon parcours étudiant, comme celui professionnel, est un exemple typique d’éclectisme et d’indécision, à l'image de ce qui se fait de pire chez les jeunes d'aujourd'hui, me signifiant depuis fort longtemps que certains destins peuvent émerger en dehors des sentiers battus en conséquence de notre inadapté système « éducatif ». Elève brillant jusqu’à l’âge de neuf ans, mon périple commença par une lente descente aux enfers, après un redoublement en classe de cm2 suite à un départ précipité d'une enseignante malade nous mettant en retard, suivi de quelques années de déboires pour tenter de reprendre le dessus sur quelques tendances réfractaires au fameux « collège des caillols », dans la banlieue sud -Marseillaise : Ces fâcheuses péripéties se soldèrent évidemment par une « orientation-relégation » en milieu professionnel, puisque il en est ainsi de ceux qui pourfendent où montrent peu d’égard à l’encontre de la belle institution scolaire – Moi qui ne demandait qu’à exprimer des talents artistiques et créatifs depuis mes plus jeunes années, notamment au travers du dessin où j’excellais à de multiples reprises au travers de quelques concours au cours desquels je fus récompensé. Personne n’y prêta suffisamment attention pour convenir de m'orienter vers un chemin plus adapté à mes compétences. En effet, nous peinons en tant que parents à concevoir qu’il existe d’autres chemins menant à l’épanouissement que ceux dictés par l’enseignement classique et bien des débats furent nécessaires pour poser l’hypothèse que ce système basique d’accumulation des notions scolaires ne soit pas adapté à certains élèves !… . Afin de reconquérir quelques lettres de noblesse, après cet échec cuisant sur un enseignement général, il m’incombait désormais de faire mes preuves … sur la tôle d’acier, …comme carrossier ! Mon père ne fut pas totalement étranger à cette orientation en raison d’un projet de création d’entreprise qui hélas, ne vit jamais le jour. Nous n’en savions évidemment rien en ce temps là . A court d’idée et enthousiasmés par les ambitions paternelles, nous n’avions, Patrick et moi, qu’à suivre cette perspective prometteuse. Des quatre années suivantes, dans le domaine de la « construction et réparation automobile », à Marseille, Orange ainsi que sur divers autres horizons, en dehors du savoir inhérent à ce noble métier, je prenais d’une part mes premiers contacts, souvent difficiles avec le monde du travail, d’autre part je tirais mes premières conclusions sur les tenants comme les aboutissants relatifs à ma modeste condition sociale prolétarienne. J’aurai bien des choses à vous confier sur le sujet mais je m’impose volontairement une obligation de concision qui nous renvoie sur les textes à venir.
Ce cursus en alternance « école-Entreprise » achevé, non sans la déception que peut entraîner le rude milieu de l'apprentissage, il fallait maintenant se résoudre à la triste réalité que, faute de financement, le rocambolesque projet industriel familial n’aboutirait sûrement pas; à moins de cotiser jusqu’aux derniers de nos centimes pendant de nombreux siècles. Eternel insatisfait, je ne pus cependant me résoudre à quitter en si mauvais terme cette phase initiale d’acquisition des connaissances. Il me fallait enchaîner et surenchérir par l’obtention d’un diplôme plus étincelant ! …Bêtement peut être, sinon pour satisfaire cette inepte rumeur populaire selon laquelle il n’est pas meilleure carrière que celle de… fonctionnaire. Vers quels saints se tourner ? Mes aïeux pouvaient-ils me souffler les bons conseils pour trouver un chemin à la hauteur de mes espoirs : Serais-je capable, comme policier, de suivre leur trace en servant brillamment notre république au sein du ministère de l’intérieur . J’entreprenais alors avec succès un DEUG de droit au sein de la prestigieuse faculté d’Aix-en-Provence. Quelle fierté, n’est-ce-pas ? !… de se retrouver chômeur diplômé sur les bancs des « ASSEDICS » - Nos diplômes intermédiaires sont pour la plupart inefficaces - C'est le cas du DEUG de droit qui ne présente aucune valeur intrinsèque si ce n'est d'ouvrir la porte à quelques concours administratif : Il fut supprimé et ne demeure aujourd'hui plus que la licence - Peut-on imaginer ma rage lorsque, mon titre en poche, spécifiquement préparé pour les épreuves de ce concours, un docteur zélé de l’hôpital militaire « Laveran », mandaté et agréé par l’administration pour faire passer certains tests ophtalmologiques me signifia ses méprisables conclusions qui mirent fin à mes légitimes et modestes ambitions ? La malchance me poursuivait encore.
Quelle malheureuse surprise d’être recalé pour un stupide, superficiel et dérisoire problème de perception des couleurs : Figurez-vous qu'il semblerait selon parole médicale que je sois incapable de distinguer le blanc du jaune … à très... trés faible nuance cependant ! Reconnaissez là un handicap rédhibitoire à l’exercice de ce métier. Moi qui ne voyais en ce jeune âge mon avenir que par cet accomplissement professionnel ! Cette inaptitude aurait-elle vraiment fait de moi un mauvais policier ? J’enrageais tous les jours à la vue d’un agent des forces de l’ordre portant des lunettes ou un peu enrobé - Du haut de mon mètre quatre-vingt cinq athlétique, je voyais en cette décision une profonde injustice. Bref ! Le mal était fait et mon sort jeté- Avec le recul, considérant mon esprit anticonformiste, je me console en avançant l’hypothèse que je n’aurai certainement pas tenu le temps nécessaire à l’incontournable année d’école qui précède la prise de fonction. Etait-ce le destin qui en avait décidé ainsi pour m’obliger à me consacrer à d’autres desseins ? Chacun dira la sienne. Peu importe. Toujours est-il que cet empêchement médical marqua le début du longue errance en m’obligeant désormais à me retrancher sur divers « petits boulots »,… passant d’un contrat de vendeur d’une durée de deux mois à celui d’agent de sécurité pour le temps des vacances scolaires.
Obnubilé par les questions de société, certain que mon parcours devait passer par quelque chose de moins matériel, je ne fis preuve d’aucun courage ni ténacité pour chercher à me réorienter sérieusement. Le temps passa. Résolu à cette précarité, j’errais alors pendant longtemps dans les dédales des bibliothèques municipales et les petits boulots pour remplir mon âme de ce dont elle était frustré dans la pratique, faute de moyen ou de courage,… peut-être de capacité. j'exagère volontairement mon parcours car je ne suis pas un oisif,... et je dois éluder la réalité pluridisciplinaire de mes nombreux essais dans les milieux du tir sportif, du commerce, de l'éducation, de la route ou de la sécurité. Je préfére aussi oublier ces années où je faillis trébucher sur les chemins de la marginalité, parfois aux limites de la délinquance. Mettre en avant mes échecs permet de souligner les lacunes d'un système éducatif qui se veut à la pointe mais qui est en réalité une fabrique massive de marginaux. La raison en est simple : La recherche comme la detection des talents de chacun fait défaut, le superflu est préféré à la connaissance des piliers de la citoyenneté qui peuvent se résumer en ces termes : "Forger L'esprit critique" ... . L'esprit solide d'un citoyen averti se forge par la connaissance des techniques manufacturières, des modes de réflexion, par l'étude des langues, l'étude des différents courants idéologiques et philosophiques, la connaissance des institutions et leur histoire ou par les raisons qui les motivent, l'histoire des conflits entre catégories de citoyens à l'intérieur de la société ... ou entre civilisations . Eveiller l'esprit critique consiste aussi à placer les citoyens dans la possibilté de réfléchir au sein d'une institution de dialogue, la possibilité de contredire de manière constructive la direction de l'Etat ! Voire de le remettre en question dans son essence si cela semble justifié ! Ces éléments de société font cruellement défaut - Certians préférent éviter cela ! .... Les maîtres s'y opposent. Nous touchons ici la limite de ce qui est permis dans la transmission du savoir.
............ Cette pertinente occupation dans les dédales de la connaissance, par une démarche autodidacte, me fit en revanche poser le regard sur d’autres secrets tenants à notre troublante société politique comme celle de l’information. Les exemples signifiants ce paradoxe sont innombrables. Lequel pourrai-je vous servir dans l’immédiat afin de vous faire partager mes doutes ? Jugez celui-ci qui ne manquera certainement pas de vous interpeller puisque vous pourrez rapidement le mettre en pratique – Ces cathédrales du savoir sont en effet les exutoires, volontairement imparfaits, d’une société qui se ment : Tout y est ! ? n'est-ce pas ?… en apparence seulement ! … Cherchez une information ( …une technique ou un savoir-faire technique précis ) peut vous absorber des journées entières et vous en ferez d’ailleurs le tour d’une manière remarquable, impeccable, avec une troublante profusion … .En revanche dès que vous souhaitez mettre en application ce savoir, dans un but pratique et concret (de réalisation), vous ne pouvez alors que constater l’insuffisance comme la superficialité de la documentation mise à disposition. …. Etonnant paradoxe, n’est-ce-pas ? Pour finir, les références les plus utiles ou pertinentes se trouvent souvent hors de portée des yeux, pour diverses raisons techniques ou de sécurité - Faut-il y voir le seul fait du hasard ? Voilà une question que bien peu de gens osent soulever. Une bibliothèque doit servir d’autres desseins que d’éblouir les yeux des enfants ou la curiosité superficielle des badauds et il manque de substance à ce savoir que je qualifierai « d’elliptique ». … évidemment je m’emporte encore, ce n’est pas le sujet du jour ! Je vais trop loin et m’égare sûrement.
Ces digressions me font par ailleurs déconsidérer l’essentiel : Il ne faut pas que j’oublie de vous conter ce jour heureux du quinze mai 1999 où, aux détours d’une rencontre hasardeuse, je croisais celle qui allait devenir l’élu de mon cœur : Solange, bientôt maman en cette veille de Noël 2009. Moi qui refusait de croire au phénomène d’inspiration, je peux désormais certifier qu’il existe bien des circonstances stimulantes pour l’imaginaire : Elle est ma muse.
Vous allez m’accuser d’essayer de vous apitoyer. Revenons sur les rives de notre pittoresque bassin méditerranéen - Marseille ! Ville éternelle avec ses 2600 ans d'histoire, carrefour du monde et des civilisations. Les gens qui vivent ici ont bien de la chance ; j’en suis et puis vous le confirmer ! La cité phocéenne est un « univers » très complet -…A tel point que les chauvins la surnomment depuis les années ‘’RAP‘‘: « … la planète Marseille » … ! Phrase qui doit être prononcée avec un fort accent du sud afin de respecter l’arrogance qu’elle entend véhiculer dans l’esprit banlieusard - Cette diversité en tout domaine en fait un excellent laboratoire pour qui sait observer : Cette région présente en premier lieu une topographie très riche. Il me serait loisible de passer des heures à vous dépeindre ces fantastiques spectacles tant ils sont une mine d’enseignements ; plus particulièrement de « sensations » pour les « extralucides » qui cherchent invariablement à capter l’indicible autour d’eux. Je me contenterai de vous résumer quelques-unes de ces féeries :
.......................... On peut y voir au loin une chaîne entrecoupée de collines au centre desquelles s’étire un bord de mer assez varié. Logée au sein d’une véritable cuvette naturelle dont l’épicentre peut être situé au centre ville, notre métropole semble en effet s’être engouffrée dans les bras rassurants d’un pli tectonique, dicté par un caprice antédiluvien de dame nature- Le terme d’extralucide peut choquer mais cette capacité ne comporte en réalité rien d’autre qu’une qualité d’écoute et une sensibilité exacerbée – Il faut ajouter, en aval de cette faculté de perception, une certaine capacité de conceptualisation pour retranscrire en langage intellectuel les informations ainsi perçues . Où en étions nous ? D’un point de vu climatique, tout semble passer ici par les extrêmes : Son implacable soleil estival pourrait guérir les mélancolies les plus sévères, tandis qu’en saison basse, son froid hivernale serait susceptible de calmer les ardeurs les plus féroces. Ces particularités permettent le développement d’une flore spécifique dont les plus illustres auteurs surent s'inspirer, étonnante par son adaptation – En ce domaine encore, on peut constater l’apparition d’une véritable particularité biologique – Entre autres curiosités, les passionnés de botanique ne se lassent jamais d’examiner l’extraordinaire variété de sa végétation, en commençant par l’inaccueillante ainsi qu’impénétrable formation végétale discontinue et buissonneuse, dite garrigue, pour finir de s’émerveiller dans l’écho infini des chants de cigales peuplant nos merveilleuses forêts provençales. Tiraillées par la soif, la feuille des ligneux n’a eu ici d’autre choix que de réduire la surface du limbe pour n’en laisser que sa plus simple expression, symbole d'une formidable adaptation du régne vivant végétal : L’aiguille. Cette absence de matière n’est cependant pas un obstacle au camouflage parfait de l’arthropode caractéristique de nos régions précédemment cité qui sait instinctivement depuis toujours et parfaitement se confondre avec l’écorce de son hôte … au point de laisser supposer une quelconque faculté d’expression à l’origine de l'entité végétale. Cette rengaine assourdissante, véritable cri d’amour de l’insecte homoptère, raisonne contre les versants abruptes des coteaux comme les pulsations frénétiques d’une biosphère déchirée par le désir de vie. Est-il concevable de demeurer insensible devant une telle osmose ?
Que dire par ailleurs de la mégapole, aujourd’hui plus que bimillénaire, assiégée par ces hauteurs, protégée depuis des siècles par la bienveillante basilique de notre dame; carrefour incontournable de la Méditerranée, où se côtoient plus d’un million d’âmes - Cette ville demeure à mes yeux un modèle attestant la possibilité de vivre ensemble, malgré les différences; …même si l’on peut justement percevoir dans ce formidable creuset cosmopolite les limites de ce que notre système actuel d’intégration est capable de faire… ! Me voilà déjà reparti dans les dédales du sujet politique. Ce n’est pas l’ordre du jour disais-je ci-avant !.... Cette description n’avait pas d’autre but que de vous faire évaluer le potentiel d’une situation géographique ainsi que matérielle exceptionnelle.
En fait, ce petit monde est une source d’inspiration infini parce qu’il contient tout ce dont à besoin l’imagination,… comme un condensé de tout ce qui s’y fait ! Ce n’est donc pas un hasard si cette terre est un lieu de prédilection à l’éclosion de l’esprit artistique.
Depuis toujours, les artistes, marginaux comme les créatifs sont les moteurs de l’évolution intellectuelle: Au diable les certitudes de ceux qui s’imaginent posséder le monopole de la bienséance ou du savoir. Je compte sur votre soutien pour donner vie à notre action car elle ne pourra qu’être citoyenne … ou ne sera pas !
3- La suite de cette impulsion initiale ?
Il n’est pas concevable de donner naissance à un tel espoir sans poursuivre son action d’une quelconque manière !
Cette année de méditation fut décidément très féconde : Parti avec l’idée simple d’élucider certains illogismes de la société politique, me voilà désormais à la tête d’un véritable système philosophique ! Peut-être n’a-t-il aucune espèce de valeur, mais rien n’empêche d’y travailler pour assouvir mon instinct créatif compulsif. Chacun jugera de sa pertinence. En attendant, vous imaginez bien que je ne peux plus me contenter de vous avoir décrit une bribe résultant de cette introspection, en ouvrant régulièrement la parenthèse des autres, sans partager désormais le reste de son contenu. Ma curiosité fait inertie et il me semble impossible d’en rester là –
Néanmoins, je ne souhaite pas à l’opposé propager une fausse illusion. N’attendez pas que nous changions le monde avec un coup de baguette magique. L’espoir dont il est question dans la première phrase de ce paragraphe est évidemment égoïste !
Si salut il doit y avoir, il s’agira en premier lieu du mien !… mais il n’est pas plus bel amour-propre que celui pouvant se partager et servir de tremplin à autrui : Ma méditation de la même façon que nos recherches seront donc aussi les vôtres, par l’intermédiaire de ces pages sur le « web », parce que leurs résultats novateurs vous permettront de voir « plus haut », par de nouvelles approches. …Rien de plus !…-
Un mouvement associatif devrait ( je l’espère! car rien n’est encore fait ) probablement voir le jour dans les mois ou années à venir… pour exprimer, appliquer et partager le fruit de ce travail, mais il ne prendra pas la forme d’un mouvement politique, cultuel ou revendicatif. Il ne s’agit pas non plus de créer un mouvement de masse à moins que vous ne m 'épatiez tous par votre mobilisation ??!... Mais j'en doute - Bon qui sait ?–
Concentrons-nous sur le domaine de l’information pour seulement livrer quelques propositions concernant les différents aspects de « l’euchariscton ». Notre coopération se bornera à la recherche et à la mise en commun d’un savoir jusqu’ici dispersé. Ce travail se présentera sous la forme de « réflexion citoyenne » où il sera notamment question de décrire, argumenter et diffuser les concepts suivants :
A- « Le collectif citoyen » - ( Volet politique institutionnel de l’Euchariscton : Il s’agit de montrer l’insuffisance des régimes démocratiques actuels… et la voie pour passer d’un système représentatif à une république participative )
B- Méthode analytique d’introspection dite « Réflexion citoyenne » - ( volet psychique de l’Euchariscton : l’objectif consiste à mettre au point une méthode analytique servant notamment d’interface entre l’individu et ses aspirations profondes )
C- « Approche métasensorielle des phénomènes matériels » - ( volet sensoriel de l’Euchariscton passant principalement par le jeu et qui a pour but de développer le ressenti émotionnel liés aux concepts intellectuels ) . Il y sera aussi question de traduire et concevoir un aspect rationnel des épisodes ou concepts bibliques -
D- « Lexique synthétique de la civilisation manufacturière » - ( volet bibliographique de l’Euchariscton visant à offrir aux générations futures, sur un ouvrage unique et transmissible, un bilan fiable et utilisable des savoir-faire manufacturiers issus de notre civilisation technologique )
E- « L’HUMA » et son traducteur universel – ( Le volet linguistique de l’Euchariscton doit mettre en évidence la complémentarité des divers sources du langage et faire apparaître quelques innovations utiles au concept linguistique du futur.
Pour l'heure rien n'est fait et il relève du talent de chacun de poursuivre cette action par une démarche d'introspection personnelle et d'une mise en marche sur son niveau local car l'idée du "collectif citoyen" ne peut appartenir à personne et nous devons tous y prendre part. Personne en particullier ne peut s'en rendre propriétaire. Pas plus vous que moi - Je laisse ici une marche à suivre et des directions de recherche. Pas plus - Ces lignes doivent vous inspirer comme elle furent pour moi un travail guide, une source d'inspiration .
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Evidemment, vous devez avoir votre place dans ce travail d’investigation :
Le projet d’ensemble nécessite de faire appel à des personnalités novatrices, avoir de l’imagination et un brin d’esprit critique … .
Les « premiers de la classe » qui se contentent de régurgiter leurs connaissances scolaires ne seront pas d’une grande utilité . Pour nous rejoindre, vous devez … avoir de la patience, car notre action ne peut s’inscrire que dans la durée, posséder une connexion internet, un peu de temps libre pour établir des rapports de recherche ainsi que quelques connaissances spécifiques sur l’un des sujets nous intéressant ….
3 Vous possédez des connaissances dans le domaine de la psychologie ou des sciences physiques : Il se peut que vous ayez votre place au sein du projet « métasensoreille ».
4 Vous possédez un diplôme universitaire ( linguistique – maîtrise universitaire d’une langue étrangère : Arabe, Chinois, hébreux, Russe,... ) : Vous pouvez nous aider au sein du volet linguistique.
5 Si vous possédez quelques notions universitaires dans les domaines de la sociologie – des relations internationales ou du droit constitutionnel : Vous avez votre place dans le domaine du volet institutionnel .
6 Vous possédez des connaissances professionnelles spécifiques (… comme artisan, indépendant ou ouvrier qualifié –
à condition d’avoir exercé plus de deux ans ! … Mais il faut encore que vous soyez prêts à céder gracieusement ces acquis pour en faire profiter tout le monde! Hors « secret de fabrication, méthodes brevetées ou protégées par le secret prof ». ) relatives à un quelconque procédé manufacturier : Vous pouvez alors probablement participer à la rédaction du « lexique universel ».
7 Si vous avez la fibre artistique, des talents d’écriture, des capacités d’organisation ou une quelconque faculté créative alors que vous œuvrez dans ce domaine depuis des années : Je vous réserve une place de choix au sein des nombreux autres projets de l’association - ( ….Collectif d’expression et de regroupement des victimes de dysfonctionnement du système institutionnel - Lexique d’approche et de simplification du droit positif – Méthode d’approche et d’interprétation critique de l’actualité journalistique,…. Etc.,… etc. ;….).
Date de dernière mise à jour : 03/08/2019